Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 16 - luglio 1891

NOTESETNOTULES Le Théàtre Lib1·e, se fait fort de monter la Princesse Maleine en novembre; M. Maeterlinck déclare se désintéresser de cette entreprise: 1héâtres: Nous ignorons pourquoi de la représentation d'Un Mâte, de M. Lemonnier on a voulu faire un évènement, une solemnité li ttéraire?-Pourquoi M. Rosny, dont l'admirable Daniel Valgraive humilie singulièrement les romanciers d'aujourd'hui, aborde-t-il avec Nell Harn la carrière dramatique? . - Nous entrevoyons pourquoi un << auditoire d'élite » a redemandé, et fait jouer deitœ fois de suite la Morte violée de M. de Chirac ; et le fait que Mme Tola Dorian ait transcrit en russe, sous le titre de Tamara, un conte de Ouida intitulé Pépistrello, nous semble appeler l'approbation. Mais, entre les Fourches Caudines et l'affaire Clairainval, il n'y a pas à choisir ·et la police correctionnelle ne redoute pas la concurrence de M. Antoine - La preuve est faite aussi par Leu1·s filles que le plus à tiroi1• des vaudevilles obscè9es est à sa place au Théàtre Libre. Le Rève drame lyrique vient de révéler au monde troublé le nom d'Alfred Bruneau. Cette œuvre a ému le monde musical et secoué le monde qui s~ qualifie de littéraire parce qu'il fait son bréviaire de l'Echo de Paris - rnnlides de quelques vieux écrivailleurs. - Beaucoup, à BibliotecaGinoBianco

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