Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 13 - aprile 1891

- 14.9 - Au point, que <:'est,toujours un [t\'ellil' Et que je va,is me rappela.ut Ce qui aurait dît être -- )lo~, phis doux et FJa,·ie; .\lùins vaine et moins galant; Enphorion et .\lare, plus homme J~t Lii:<C, telle et Laure, ainsi; peut-Nre ... Et jé les nomme .. Po11l'taut, j'am·ais ,oulu leur dire, Qne rien n'e t triste en )•ombre de rnei- chèn~s, Qae tout, hors b forf>t e,-t 11i1·,e Que je ne suis pas seul, voyant des yeux; l'amli les feuilles où bruissent ses tra 111e;.;, Pla de, ou qui je veux, ::ians un reproche; Et, JJ-Ollr:wcir posé ma tt'tf' emmi les mousses Et 1·egarclél'azur qui semble proche En1 re les branches roses <le jem1es pousses. •- Deux piene.,; froides à, mes poig-uets de ûèrres - ,le puis leur dire, sachant les en ~riser, Que toute la douceur de leur baiser Fleurit et chante ici mieux qu'à, leurs lènt>:;. Je leur <lirai. Que rien ne pleure, 1c1; Et que le Yent d'automne, aussi, Lui qu'on croit triste, est un hymme <l'espoit-; Je leur tlfrai Que rien n'est ti-iste, ici, malin et sofr; l:--inon, au loin, Lorsque ).°ovembre bruit aux branches Ponssant les feuille.;; au long <les sente,; blat1chp:; -- Elles fuient, il les relance ,fnsqu'i\ <:~ qu'elles tombent lasses, A lors il passe et rit - Que rien n'est üiste, ici, Si non, au loin; sur l'autre côte; .A!onotonecomme un sonmrnt la même note. Le hem't des hârl1cs brandi tout un jour, B bl oteca Gino Bianco

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