Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 11 - 1 febbraio 1891

sourient: :.\I.Odilon Bedon ne gesticule point; :.\I. Catulle Mendès, inopinément sun·etrn dcBclgic1uc (où il loua, tlitil,lc symboli,;mcJ, se mèle aux groupes. :.\DI. :.\rirbeau et Hops très entourés. :.\I.Schuré pense à \\'agner et :.\I.Barrès it Chambige. :.\L\I. DeI:.1ant, Gauguin et Clrn.mpsaur discutent aYec :.\I. Yanor. :.\I. Bernard Lazare ,;·enquiert auprès <le :.\I. Signac ùu portrait de Féné•on; :.\I. Seurat (•coute. :.\I.Quillard disserte aYeC :.\I. Jule,; Cliri,;Lophe, cependant que :.\I. H<'.,rold se complait aux mob rlc:.\l.Berthelot, et causcnt,le mieux du monde, :.\L\I.Tau. ·serat, Collière, Pierre Louys, :.\lorhar,.ll, Thorel, Henri de L'l<•gnier,:.\Iazel, Yalette, Bouguereau, RaY11aucl, Co11slurier, Fontainas, qui représente nos excelknls confrères de Belgique. Lit, Léon Banaeand cher aux IJibliophile& romantiques. L'ab:;ence de Paul Vet'lainc. Paul .\.dam. :.\Iaurice :.\Iactcrlinck, t,uslaYe b:ahn, et d·aulrc,; au%i, fut YiYcment regrettée par BibliotecaGinoBianco

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