Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 11 - 1 febbraio 1891

- 61J-:sl-re que k ,a,lc lorrcnl ~-é1)11is<' jamais ('n couranl Sur le~ H ><-her~,dan-" rondJ1·c noire, ParCl' qu'au flanc YCl'Ide~ talus, J>eux ou !rois lions chc,·elus y S()ll[ lMtemenl \'Cnu~ bOil'C? Au f,,n. les haillon;; ,·louffanls ! 1-: ·1-ce la fanle ù ces enfants Donl l':hnc reluit. toute ncu,·c, S'ils n'ont pa~ ployi• Jrs genoux A la mème place que• nous. En -"'ahrcnYant ù rcan du flcn,·e? J-:st-rc donc pom· eux un affront Jran>it· élé haisi•s an ft-onl l'ar les l~ne~ cl'ot··dc-" chimères Quand ils dormaient da11-"lrnrs berceaux; En un l"CCllCillClll('ll(<l"obraux l)lollis sous les ailes de~ mères? Pourquoi rùrnmienl-ils pas tenté .1;cn\'olemenl illimitt\. ' An <lelit des sphfres connues, <:ommc s'il était défendu Vr planer ù demi perdu l>ans l'élargissement des n:ics? All<'z, rè\'CZ, lnllcz, cherchez, J.r Vcrhc et lïcli-al cachés Dans l!ùmc pensi \'C des choses? Les bons ainés ,·ous seront doux ; Lctu·s flèches, en siftlant \'Crs vons, Auraient penr de blesser les roses La lihrr·lé ! la liberti•, Dans rar·I comme dan-" la cité, Jusqu·aux derniers contins dn rèYe ! .Un chanl aprè-" un aull·c chant 1 Le soleil saigne en se couchant. Mais c·est toujours lui qui se lève! Puis les toasts de i\L F. Vielé-Griffin à Clovis Hugues; de ~I. Tellier à la Poësie; de M. Emmanuel Chabrier ù. l'uniop des a1-ts; de M. Daurelle à Octave Mirbeau; de M. Gineste à Félicien Rops. Autour des tables abandonnées,après la vaine aUenle de quelques nourriture$, des groupes péripatétisent. M. Henri Lavedan croise M. Robert de Bonnières qui BibliotecaGinoBianco

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