Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 11 - 1 febbraio 1891

ou écriYain) obligé de trasailler dix ans pour le. autres, (:'1 quoi't et dans quelles conditions!) a,·ant d'œuuer ponr l'Art, aurait-il une Yieplus lamentable sïl était captif chez les Patagons? s'il ani\·e it Yi He de sa production, n'est-il pas exploité par les intermédiaires plus rnpacement que l'ouvrier ne .l'est.par son patron? Et qui s·en préoccnpe? Le politicien n'a cnre de celte non-Yaleu1· Heclor,1le, le sociologue n'a cl"yeux que pour!e producteur manuel, et le mécène qui .1giote sur la célébrité lai:,se sans re1Hords creYer en leur aire les miséreux fiers et dignes. Ne serait-il r•as temps, en Yérité, que les intellectuels se préoccupassent de se défendre el contre ranlipalhie ambiante et contre .l'exploitation. Pourquoi, en dehors de tout cénacle, ne formeraient-ils pas une solide alli,rnce, quelque chose c·omme une ligne harn;ratiqnr:' .\lphonse (JJ.:1rn.,1x. BibliotecaGino Bianco

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