La Rivoluzione Liberale - anno IV - n. 33 - 20 settembre 1925

UN CATTOLICO FRANCESE Nell'ultimo uurnero della Vie Catlwliqw.> (Parigi, 12 settembre) l' abbé Thellier ,le Poncbeville mette a confronto con lo sJ,iriLo del Vangelo la presente nisi poli~ica. I suoi propositi sono TC'C'isan1enteconservalori (Ponr rcutu~ner l'ordrc dau-s {a Cité. e I'ordn, non deve essere un onfre nouveau). il suo calloJidsmo ha, Jogicamente, B[umalure dj patcrnalii::;mo~ma non è di lutli i giorn'i ascoltare una parola cosj illu111in.ala da un coo9ervalorc. ((. Nos tronbles sociaux sonl la, conséquence cl'une cri se de scepticisme à l" égard des dirigeants. Si les masses prolétarÌ<'lllU!S se livrenl aux cn:cnfnrÌC'rs de la révolution, ce n'est pas qu'elfos soicnl conva.incues cle l'efficacité de Lout~s l<~ursprom,Psses, rnais cl.Ics 11 'ont plu3 foi dans ceux qu_i ont offic.iellPmcnL n1.ission de les confluire. ,1:fécontentes rie leur sorl, iniJJ<Ltientesd'un 1norul nouveau, elles s' évadcnl d'un ciuilisa1,io11doni les chef s légit.imes ne leur inspirent plus confi.ance. Ca,npées hors de nos 1n11rs, co111,m.e des arm.ées prétes à la, bataille, elles att,endent, l' heure où elle seront assez fortes pour rcnvr>rser ce qui reste de ce pouroir et y szibstituer leur dictature. En /ace de celte insurrection grandissante, /es scepliq11es clisent: il n'y a plus rien à faire avec ce peuple, trollpeau d'esclaves révoltés que tieridra seul en respect, le fouet d'un César, des violents, en ~e préoccu.pant uniquement d' abbattre le désordre à coup de représailles; s' exposent a ousser cle plus en plus à la guerre une foule déjà aigrie, sans tenter le supre1ne ef]ort qui la ramènerait dans le:; voies cle lu paix ». Il Vangelo, secondo l'abbé Thellier, non ammette la ma.in de fer: ha una conception nouvelle de l' a.uto1·ité. Se parlasse alla società presente, Cristo comincerebbe « par ra,ppeler les plus haul placés à l'observation entièr de leur devoir. Car plus les dispositions de la joule paraissent m.auvaises, plus l' atti tude des gouvernants doit étre parfaite afin de remédier au mal qu'ils n'ont pas su prévenir. Tous les torts, en cette crise d'insubordination populaire, ne sont pas du còté des séditieu."<; toute la faute de l' autarité n' a pas été de se montrer tra p faible; tout le remède n'est p.-!Sde l'entourer d'une a.rmature vigoureuse. S'est-elle taujours préservée des défauts ']Ui la rendent milnérable et exercée avec les vertus qui "lafont respecter et aimer? Les magistrats chargés du bien public ont-ils Jait tau t ce qu'il dépendait d' eux pour garder fi.dèle leur peuple en le convai.nquant qu'ils étaient, à so.n servìce, une puissance ju.ste et désintéressée? >>.• La civiltà cristiana non può essere una civiltà autor:itania: alla base del cristianesimo, prima ancora dell'ideale teocratico, sta il. riconoscimento del valoÌ-e della persuasione, checchè ne sembri al Carriere d'Italia. « S'il ne s' agissait que d'imposer, dans une heure de trouble, leur doniination extérieure dans la rue, ils y réussiraient peut-étre uniquenz.ent à coup d' énergie. Mais leur influence profonde ne se rétablira qu' à coups rie dévouements. S'emparer dzi pouvoir pa,r lct violence, reclresser par la farce un pou1..·oir fort: succès sz1,perficiel, qui riique d'étre éphénière ». LA POLITICADI P. VALERY Nella Revue de France del 15,settembre 8Ì legge un colloquio di F. Lefèvre con Paul V aléry. Il pensiero di Valéry - natmalmente portato a guardare i fenomeni soci•ili come poeta e matematico - si inquadra nelle preoccupazioni aggi dominanti nell'intelligenza francese e occidentale sulle sorti della oiviltà europea. I popoli taglialli, fuori dalla cultura internazionale sono pronti a disprezzare queste trepide incertezze e queste oscure domande: ma la loro grossolana sicurezza non sarebbe appunto un indice della loro decadenza? Negli annli.-che precedettero Campoformio pochi venez-iarri ebbero il presentimento e la tristezza del tramonto: tutti parlavano nella repubblica di destini imperiali e cli romana grandezza. . Une e:xpressiune de uotre éturle sur « La crise de l'Esprit " - comincia il signor Lef èvre - semble auoir particulièrement frappé. Vous <Luez dit: ,, 'L'Europe deviendrat-elle ce qu'elle est en réalité, c'est-à-clire un petit cap du continent asiatique? )). - En di.sant que l' EuroP.e est un petit cup, j'ai vonlu rappeler qu"il n'y a point de proportion enl-re sa puissance dans le nionde et sa grandcu.r physique, conune il n' y en a point entre sa po pul atian et celles des terres qu' elle contro/e. Il y a donc au I.re chose. l' ai esswvé de rléfinir cette autre chose, et je nie sui.s"deman.dé si cet appoint n'allciit pas s'affaiblissant. - Plusieu.rs écrivains de divers pays ont fait aussi la 1nénie constatation: les zuis pensent que, pour renz.édier à. cet affaiblisse1nent, il suflìt de puiser aux sources éte1·nellement jeuncs du cat holicisme: d' autres écoutent avec une étrange sympathie les « appels de l'Orient }) et sem,blent partisans d'une « uti~ lìsatian dti bazuldhisme ». Qnelle est votre attitude sur ce point? Croyez-uaus à La fé LA RPIOLUZIONE LIBERALE conrlir.é toujours actuelfo du cntholicismP? - le n'ai pa.o;touché ,ì la question rf'li~ giense. Vous 1n<1posPz un. problèni<1 quc l' on Il<' f'Cllt n~soudr<• f/ll'' par /es 11u1y<Pns dr, l,1, /antrtisi,J. Un r.r1thofitjlt<' 1·011s diro oui. Un nmt•cathnliqu,• jurr>ra 'i'',, n.ou. ,Hai.-;, C(>la, no11s lr• savions ,I'tLl'fWCP. En so,nnw. 1)ou.s n'i:'l<•.,;,pos sans ,, poli• tiquer ,> quelqur> peu? - A ma façon. - Si je cnniptr• bi,,11, je vois dans 'L'Otre <l'Ul re celle ConqnPlc 1néthod1r1uc qni ri paru <"L l896, la CL-ise dc-l'Espr'it, et et'lf<' répons,, qu<' vous avez do11nP<>à ht RC"\tlH' de France, qui ,;olls i11termgeait Sili" La Crisc <le l"Intelligencc '? M. Ponl Valéry S<' mcl cì rire: - Ooi, m.e dit-il, il paraZt que, non contn,t rl' évoquer de ternps à CLLttre le spPctre de la poésie pure, je mP fais quelquefois z,, praphète dcs crises rie l1intellect ... Quant ci hi politique, je n'y entends rien. C'est lrop difficile! Mais je me demurule qnelquefois si tour. ce qui est compris actuelle1nent SflUS ce concept n'est pas en train de snbir une prodigieuse transfonnation. Les idée.s m, les idoles qui, depuis des siècles, sen:ent à énoncer les problèmes politiques Pt à lcur concevoir des solutions, cornniencent cì se trou.ver en contraste, sinon en conflit, avec l[t, man,ière de penser~ avec les conditions i,nposées par la. vie moderne <Ì lti pensée, qui résulte11t d« déueloppement de précision, de conuexion et de puissa.nce que la sf'i,,nr,, 0, i1npo,'1é à l' Europr~ et qne l' Europr~ im.pusf) on niondP. li m/f•.1t donc orrivé de 8onger quelqur•fois ({ re q,u,, pourrait Ptre. unr• politique oU les r·onsulérution.,; de stati."JtirJtt<' - d'organisotinn dr, ·"f.d,.,rtion. ,--te., j•'Jr1,eraWnt[,,, rOLe. fonrlom<'ntal ... ... En stJm111P. toutr• politique ci-rtivr~ se Jonrf,, uf'r,J.~.'l"in~mr,,~1 ,51,r q,udque idéal prochf~ ou loihtain q,u, l'on assign,, .1Joit <t l'individu, .'>oit ti <jtu•frJ'rn C!rOll/W h1tmain, qu'il s'agis.,,., d"uru• Jomill,~, d'un fJ'lrti, d'un~ caste, d'une nalifJn, rl'1tn ,-(lgime d'un r,ontinr,,nt tout e1t1Ìt-'r 'Jll rlr• Lo rocr• lu1m,aituJ tout enti,-,r,.,, !t :v a donc, il t/oit y w·oir autont d'idPaux, antanl ,r esp~r(!tJ d'idt'aux qu' il y a de catégaries et d'ècftr,lles dif]f,rr,nt.,. - Le fait que chacun ap(lartienL à la fnis a tant de .,ysti,- 1n1->s,a lant rie cla.s!WSlopique.,, est le fait foudaml'ntal. Fair,., des raisonn<•m<-'nls, concevoir des consf ructions qui com posqnt entre eux, qui com.binent ces éléments on ces etres d' orrlres si rlivc~rs -- essayer de calcul~r ce que doit céd<~rl<t p,:,rsonne an grou pe <-'lle groupe ù ln personne, rechercher par conséquent je ne sais quelle ro,nmzinc nwsure entre des inléret.s et des forces si dil]érentes - ,;oilà, entre aulrr:s réveries, mon genre dc penser à lo pnlitiqne. Dove sii veile che anche partendo dalle scienze 111atematiche si può gjungere a intravedere cc1·te verità del marxismo. Ma non si è poi-marxisti se non si passa cl.alle r€veries e, dai calcnls alla prax:ia e alla storia. Inchiesta sulla lira IV. La nostra })olitioa n1onetaria non può es .. se1·e che di stabi]jzzazione oppure di sostituzione della unità monetaria "sulla base di una qtialsiasi ratio con la lira attuale. La rivalutazlone equivale ad una so,pravalutazione. Ogni forte sopravalutazione è una, frode del tipo d!i, quella commessa da EDogabalo. La stabilizzazione è sempre possibile. Essa prelude a una nuova paciJtà legale e così a una sostituzione della unità monetaria. V. EMANUELE SELLA. \ ~T.;:('""'t La soluzione del pr-0blema della lira si presenta differente da quella delle altre valute estere che sono slate risanate in questi ultimi tempi. GJ'.i,esempi principali di r,sanamento monetario sono quelli dell'Inghilterra e della Germania. Le condizio1ù della valuta cli queste due nazioni sono però totalmente diverse dalle condizioni della nostra Dra; sarebbe perciò un 'errore voler procedere all11 aolu21~one del problema della lira suglii esempi citati. L'Inghilterra con una moneta svalutala di circa il 10 % sul).'autfuca parità oro ha potuto, senza grandi difficoltà, riportare la ster• ]!ina al suo pr.imitivo valore e con una accorta politica economica e con opportmii accordi bancaITi1 internazionali, ritornare gradualmente al]ia complel!a convertiliulità in , oro della carta tnoneta. La Germania, la cui valuta attraverso una continua e sapiente svalutazione ~r.a ridotta ad uo val-Ore praticamente nullo, ha dovuto necessariamente e logicamente ere.are rma nuova moneta su dfu una base sana. Ma le attuali condiziollli della lira italiana sono totalmente differenti sia da quelle della lira sterlina, sia da quelle del marco tedesco. La lira, benchè fortemente svalutata, può anco1·a essere iii.sanata e servire co1ne mezzo circolante in condizioni di sa'na circolazione monetaria; non è perciò necessario ricorrere, come è stato fatto in Gern1ania, all'inflazione per poi sostih1ire con una nuova moneta la circolamone esistente. D'altra p.arte la svalutazione è stata cosi sensibile da non permette1·e di ricorrere al sistema apphcato dall'Inghilterra della, anche graduale, rivalutazione per raggiungere l'anìi-<"...ap.a.rità aurea. È quia.Hli necessario ricon·ore ad un terzo sistema. Poicbè la moneta di per se stessa non rappresenta oggi niente altro che un mezzo di scambio delle varie merci fra di lo-ro, ovvero uno s1.l·umento per misurare il valo1·e delle merci, poco importa che il valore della monela sia alto o basso, ovvero che la quantirtà di_merce che può essere scambiata contro un'unità di moneta sia grande o piccola, l'importante è che questa quantità sia costante nello, spazio e nel te1npo, ovvero che, in quala.nqne paese, oggi come fra un mese o un anno, la quantità di merce che può essere scambiata con una data quantità dii moneta sia uguale: Praticamente il risultato che si deve ottenere è quello di mantenere costa:nte il potere d'acquisto della lira. Le disenssioni che sono state fatte sul valor<1 al quale la lrb:a deve essere stabilizzata sono perfettamente inutili. È evidente che il valore di stabilizzazione della Lira deve essere tale da turbare il meno possibile il mer- ~ inte~~o, ovvero un valore t.aJe da far spostare il meno che sia possibile il livello attuale dei prezzi. Bi8og11a anz.itutto stabilire quale sia il valore attuale della lfura per poter stabilizzare questo val-ore. ' La Dra, come tutte le valute fortemente deprezza te, ha due valori, ovvero due differenti poteri d'acquisto: uno interno e l'alll:o esterno. Possiamo f acilmenle osservare comnnemente, che sia il costo, della vita come il costo delle. varie merci è differente da p,aese a paese, misurato sempre nella stessa moneta, supponiamo in li.re. Dtu-aute la svalutazione monetaria il poteFe d'acquisto interno della moneta sii mantiene sempre superiore al potere d'acq11'isto esterno, ovvero i prezzi interni aumentano piit lentamente dei prezzi esterni, e questo pèrchè il lri'Vello•dei prezzi esterni muta al variare del cambio, e poichè il mercato dei c~mb,i è sensibilissimo ad ognli variazione delle condfaioui monetarie di ogni paese, queste variazioni si- ripercuotono molto rapidamente sui prezzi esterni. I prezzi interni invece si 1nuovono molto più lentamente perchè molte cause, fra le qual'i la vtiscosità dei salari, l'inerzia dei prezzi, i prezzi polititi deti principali generi , di consurrw, contribuiscono a renderx e meno rapido l'aumento. H valore della lira dato dal suo potere d'ac'fllisto può essere stabilito: o àn base al suo v.alorP. interno, o .in base al suo valore ,esterno, oppure in base ad un terzo valore medio fra questi due. La scelta di un valore che deve essere tale da turbare jJ meno possibile il mercato interno, non può essere fatta a pr.iori, e tanto meno fatta fra uno dei valori della moneta oggi esistente. Il valore della moneta deve sorgere naturalmente da 1m periodo di relativo equilibrio <lei prezzi. Automalieamente dopo un certo, periodo di cambi stabili, cioè di cambi sottoposti ad oscillazioni piccolissime, vedremo lentamente il livello dei prezzi interni e quello dei prezzi esterni ragguagliarsi. Jl valore della moneta 135 rn tale posizione rli erruilihrio sarà il valore aJ (rnale la lira ,lovrà <.ssere Btahihi.zzata. Solo allor~ la slahilizzaò·,ne delJa lira llùn porl<~ràHCC<,t11tti quei d.anni <;he- !..,jU'ltamente si temono, o pr·r Jo meno tali danni saranno molto attenuati. Il pri,neipalr. vantag{!iO delJa stabilizzazione della Jira è r1w,IJ,, rli render<· stabili e proporzionati gli uni agli altri i prezzi delle var-iP mPr<"i e il li.vello dei Balari. Glj svantag1ri. oltre riw,Jli in<':vitahili del rwrindo ifj afi'-f!atamcnto m<.,netado, che wno simiJj a quclJj du~ abhiarnf'J avuto jn periodo di svaiutazfrJne b~chè in Ecnso inverso, inci# dono principalm0"nte sulle inducttrie (LJ eaportazione. Infatti il fì,,rire delle grandi fodllbtrie italiane era basato ,:s,enzialmente wpra il haa0-0 costo rJj produzione che permetteva di fare coucorrenz.a alJe industri.e straniere; tale basso costo di prod uzlone dipendeva dal basso livello dei salari in Italia, conseguenza del più alto potere d'acquisto della lira all'interno. Cli industriali itaDa-ni hanno esportato ed esportano dunque in regime di valuta-dumping. Livellandosi con la stabilizzazione della lira il potere d'acfjUÌSto della nostra moneta, gli industria]j perderanno tale vantaggi-o, restan# do a loro favore solo il basso costo della mano d'opera italiana, d±pendente lliln più da ragioni monetarie, ma dal basso livello di vita delle nostre classi lavoratrici. Per giungere alla stabilizzaz-ione della lira è necessario però eliminare prima di tutto gli elementi che possono intervenire a turbare profondamente il valore della moneta sia sul mercato jnterno che sul mercato internazionale. Bisogna innanzito.tto, per giungere a questo scopo, non solo sospendere l'emissione cJrj carta moneta m.a anche la creazione di prestiti a breve scadenza da parte dello Stato, per cui presupposto della stabilizzazione è il pareggio del bilancio statale. In secondo luogo è necessario che la bilancia internazionale dei pagamenti sia in pareggio, per evitare il formarsi all'estero di larghe disponibillità di valuta italiana che verrebbero certamente a deprimere il valore della lira sul mercato internazionale e sposterebbero cosi il valore esterno della moneta e in un tempo successivo anche quello interno. Questi due punti costri.tuiscono i capisaldi della stabilizzazione della lira e i punti di partenza affincbè la politica stabilizzatrice possa ottenere dei concreti risultati. RUGGERO CoLo:-.tBo. PIERO GOBETTI Editore Torino • Via XX Settembre, 60 SA VERI O MERLINO Politica e Magistratura dal 1860 ad oggi in Italia Lire 6. INDICE: lntroduzùme • Ricordi personali - I. L'inclipendeoza della Magistratura - II. Eresie giuridiche e costi tu iouali; a) l'ammonizione e il domicilio coatto; b) associazione di malfattori e associazione a delinquere - Ili. La :Magistratura e la classe operaia - IV. Stato d'assedio e Lribunali militari - V. La grossa questione dei Decreti-Legge - VI. Banca, Goveruo e Magistratura - VII. Usi e abusi nell'Amministrazione della giusli~ia - Vlll. Come si fabbricano i processi politici - IX. La giustizia sotto il bastone (2scista - X. Se se ne potesse fare a meno - XI. Conclusione • Che fare? G. B. PARAVIA & C. Editori • Libri • Tipografia TORINO-MILANO· fli<ENZE ·ROMA·NAPOLI -PALERMO ..• le pagine più adatte a far conoscere in modo diretlo un autore sono raccolte nei nitidi volumetti della collana Scrittori Italiani con notizie storiche c<l analisi estetiche di Doi\IEN1co BuLFERETTI non le pagine più note, sì bene i. passi più tipici e più rappresentativi, tratti anche dagli scrilli rari e inediti. È uscito ora il volumetto intitolato a Luigi Settembrini Pngine autobiografiche, critiche e politiche clel mite e in.flessibile patriota e del nobile artista dalla parola così semplice e così affettuosa. Sono già pubblicati i volumetti intitolati a: Gin4 seppe Cesare Abba, Vincenzo Cnoco, Francesco De Sanctis, Ippolito Nievo, Ugo Foscolo. Ciascun volumetto: L. 5.

RkJQdWJsaXNoZXIy MTExMDY2NQ==