Entretiens politiques et litteraires - anno III - n. 28 - luglio 1892

'i - 34- •des replis de sa longue traine qu'elle enroule à ses pieds, déploie en onde sinueuse, allonge en queue de sirène .avec une grâce aisée, en la gaîne de velours de sa robe, elle proposait sous une abondante chevelure rousse un visage pur et morbide de jeune Morte amoureuse à la Gauiier que réveilla M. Lugné-Poe en son rôle de Chevalier du Passé qu'il joue avec justesse, intelligence et sùreté. Ainsi, par les attraits simultanésd 11 vers, de la mimique -et du décor, i\fom:ieur Edouard Dujardin a organisé pour le mieux notre plaisir d'un soir et nous lui sommes redevables de quelques heures charmantes et attentives. Il a -cherché à nous donner une impression poétique et il y a réussi. Cela va d'un agrément léger à quelque émotion et .c'est quelque chose ! !-IE..,RI DE RÉG~IER BibliotecaGinoBianco

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