Entretiens politiques et litteraires - anno III - n. 25 - aprile 1892

- 192 - (Paroles prononcje;; en diver;; lieux public;; par deux personnes appart.enant, l'une .'t la presse, l'autt·e au monùe des compositeurs de musique.) La lel'reur approche, terreur que voudra faire régner Ja hou rg-eoisie que les revenùicalions ':3ociales affolent. On pade de lois l'estriclives de la liberté <l'écl'ire. Déjà, au nom de la momie, on s'acharne contre l'écl'i vain ; bientôt, tout cri de rérnlte, toute parolf' libre même, sera réprim ··e, puisqu'elle ten<lrn it ,nontrer au peuple son joug. N'aul'Ont le 1lroit d'écrire, que cciux là 11ui voudront bien mettre un optimis:ne atlmi1·,11Jleau sel'vice des g,rnrernants. L'auteur des Cygnes (si cette <lt>si~nation comporte <1uelque précision) s·excnse auprès des ayant-d1·olt qui n'auraient pas reçu ce petit volume; il les supplie (et bien qu'il se croie de taille ù affronter quelque;; rontempol'ains rl.eplus) de r.onsidérer arnnt de "se formaliser », que cet te édition est la J1J'0J)l'iélé e.,,;clusire de Léon Vanier, éditeur uien connu sur la place de Paris. I.e JJil'cclcu1·•(;~r,111I ; 1.. lh:11~.\lll. 1.;4a l'a1·1s. T~p .\.·.'l. lhAl.'OELOT, ll.i, rue Je \'e111t•.iil. B1blioteca Gino Bianco

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