- 165 - et notl'e dernier soupir, ô mourant, û mourante, fera seul tressaillir la paix des grands arbres. ,, Et côte ,l côte, en leurjeunesse détruite et reconquise, parmi l'herbe et les hautes fleurs silencieuses, ils gisaient, en l'accord d'une étreinte mortelle, unir leurs blessures muettes et leur sang taciturne. IlEXRI DE HÉGNIER. BibliotecaGino Bianco
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