Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 20 - novembre 1891

._ 155 !î j Eve Elle très-jeune - avec la figure d'un bébé - mais à certain;; jours un visage très-fatigué. Eh bien quand elle me disait un ME:-.iso:-.isGoEu,riante, les yeux grands ouverts, en face, le visage fatigué rajeunissait comme sous des brises NATAL.E..S [81 - Seuls bijoux permis - des diamants à sa chemise de nuit - Oui, monsieur! • l -,- Victoria-theater. 300 femmes sur la scène - de 6 à 40 ans -- De la chair à ballets - Les milit;.ires dans la salle (fête) chair à canon. La Littérature : la Légende de la vi1. Et d'où vient que dès la seconde nuit j'ai les son:imeils lourds - chacun coupé çlf 2, ou 3, rêves dénués de tout esprit de suite. des rêves et 2 fois sur 6 celui de l'Alcazar. J'ai tant passé de soirées méditatives dans ces endroits-lit que c'est devenu même dans l'étafêtë i~êve-lécadre naturel des floraisons de ma cervelle anomaliflore. Gn alcazar où se B1bhotecaGino Bianco

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