Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 19 - ottobre 1891

- 151 - symphonie et de la mélodie, et Corbière joue de l'éternel crin-crin c1uevous savez ... ,, StJ•ophesd'Amant, par Julien Leclercq (Lemerre édit.). Stnpew·, poèmes par G.-C. Toussaint (Vanier). Le Vice filial, par Paul Adam (Kolb.) Sensations d'Italie, par Paul Bourget (Lemerre). La Fam,ille d'Armelles, par Jean Marras (Bailly). Les intérêts immédiats de M. Wilder et Nuitter s'opposeraient-ils ù ce qu'à côté de leurs détestables traductions «en vers >> des drames wagnériens, l'on en entreprit u11e traduction en bonne prose? . ,\u fait, puisque le Verdi s'est longtemps chanté en italien pour le plus grand plaisir des dilettanti, pourquoi ne chanterait-on pas Lohengrin en allemand - là, tout franchement ? On se souYient du Dépw·t, de la Bète humaine - le nombre cl'exemplail'es dépassait-il 45,000 t - en tous cas, Yoici quel serait le chiffre du Retow-, de !'Argent : 4.5,000exemplaires non vendus: ce ne serait plus le crac du livre, mais le livre du crac. Toutefois, le service militaire obligatoire et la menace d'une guerre européenne, toujours imminente, promettent un meilleur écoulement de La Débacle où le viol se pratiquera dans le sous-sol des village~ incendiés, où la trahison de Bazaine s'expliquera par des raisons de sexualité, où se lira, surtout, une scatologisation dramatique des affres botelliennes· de la ferme de Raille-belle. Le titre-Dieu, en tant qu'honorifique, peut apparteni.- B1bliotecaGino Bianco

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