Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 19 - ottobre 1891

CEUXDE.L'ECOLE « Parce que vous regardez de temps en temps une femme nue qui se tient sur un~ table, vous vous imaginez être des peintres et avoiL·dérobé le secret de Dieu. Prr! ... il ne suffit pas pour être nn grand poète de savoir a fond la syntaxe et de ne pas faire de fautes de langue. >) Ho:..011 f~ DE B., Lz.,r:. Basée sur un svstème de concours inintéressants mais rémunérateurs,-· que les élhes exécutent sans conviction, uniquement tentés par l'appât du gain, -- la didactique en vigueur it l'école des beaux arts industrialise plus qu'elle n'artialise. La maison a son dessin, sa peinture, ses formules, manies de vieille fille qu'on ne contrecarre point impunément. L'originalité, on l'orthopédise en cette clinique, d'impo1·- tants rebouteurs y préparent, des échines aptes à endosser, quelque jour, la Yerle livrée du palais Mazarin. Comme des animaux ù concours, espoir d'un éleveur fameux, on destine avant tout les élèYes à remporter c: BibliotecaGinoBianco

RkJQdWJsaXNoZXIy MTExMDY2NQ==