Ces Chansons d'Amant se relient en une unité qui est dans l'âme de l'artiste, et, par là, sont une nouvelle démonstration de cette Yérité que l'unité d'un livre rie r~sicle ni _clansson architecture ni d~g,~ sa disposition typograpluque. _. 1 , · . La belle au chal.§-Çtt( rè~ant (publiée en 1887); les Eventails (1888), Lfi nùû sur la Lanrle (1888), le Soir par !a 'cille (1~88), lès Lieds (1889), les E1;entails t;•istes (1889); enfin 'Reyam, inédit, sont une suite de sentimentalités simples ou métaphysiques, largement symboliques, rythmées au gré des heures par un des plus personnels musiciens de -cette génération bigarrée, et quelles que soient les circonlocutions théoriques dont :\I. Kahn em·eloppe l'analyse de sa manière, nous continuons à la juger intuitive, c'est-à-dire fa bonne et la seule. Notre prétention ne Ya pas, clans cet entretien, jusqu'à étudier l'œuvre de :\1. Kahn, et si nous avouons notre préférence pour << Les Rois Mages..... Ta tristesse inconnue .... . Des chevaliers qui sont partis .... Dans les rêves clos .... . Comme un faible plan ..... Le Hall ùe fête .... Si pâle il est ,·enu ..... La 1nienne est belle ..... Le page Kunracl .... . Ta beauté, ta !;>eatué ..... Les mémoires des Forêts .... . Perdu clans le bois le plus sombre ..... Les trois filles au hord de la Mer ..... Quand DaYid fuyait ..... Je vous ai soulevée ..... », c'est que notre critique n'est ni scientïflque, ni même réfléchie, mais primesautière et toute d'impression. Kous doutons qu'il soit un artiste de ces temps qui ne lise avec plaisir et profit ce recueil que nous avons trop attendu. FRANCIS VIELÉ-GRIFFIN. BibliotecaGino Bianco
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