- 223 - EnlJ•etiens p. et /. publieront, sous peu, une étude deMaurice Maeterlinck sur Novalis. Femmes et paysages, par Jean Ajalbert (Tresse et Stock. éd.), recueil de vers, dont M. Coppée réclame trop hautement la paternité (l)pour qu'on n'ait pas senti le dépit de cet académicien à se mir surpassé dans un genre qu'il pratiqua, jeune, aYec quelque sincérité, nous l'espérons : l'idylle faubourienne ; qu'on nous permette, de faireabstraction du« Symbolisme » (dont M. A.jalbert fut pourtant un des fondateurs) pour dire combien (malgré la double bémolisation) ces vers, dont plusieurs contemporains de nos premiers essais, sont pleins d'humaine tendresse, et de tristesse enjouée. Notre critique, M. Ajalbert, sans nous en vouloir, la dira: « ï.a manque un peu du vieux décor D'un Castel ~l portail gothique; On n·entend pas le son du cor De la passion romantique ... » Citerons-nous Genevilliers? Non : chacun sait par cœur celte « impression >> - et rexclamation de Haffaelli: « Enfin, nous aYons un poète impressionniste! >> . L'Hew·e en exil (Vanicr), par Dauphin Meunier. Pétales de nacre (Vanier), par Albert Saint-Paul. Kons aurons it parler des Pages que M. Mallarmé a fait publier chez l'éditeur Demin, ù, Bruxèlles et de la la Pltilosopltie clii siècle, par E. de Roberty (Félix . \.lcan, éditeur). La Conque, (3• liL) -- sommaire: Le tombeau du Conquérant. - J. M. de Jléréclia; Orphée, par Paul Vale1•y : ... « li chante. assis au bord du ciel splendide, Orphée! Son œuvrc tie reYêt d·un vesperal trophée ..... (:ar le temple érigé par ce musicien (1) Inlerv\e"' récent: BibliotecaGinoBianco
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