Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 13 - aprile 1891

_: 106 - « salutaire instrument 11 « ô reine des péchés >> la rature se sert de toi pour pétrir un génie. F01·te comme un troupeai• de demons folle et parée toi qui as été envoyée par la Providence de mon esprit humilié faire ton lit et ton domaine V. les Baud. inédits (Revue internat.) Au verso de ce feuillet 7 on W, - indications l)Ottr des vers qu'allait éC'l·ireLafoi·gue : monticules neu1.-s marmailles dans des banlieues rébarbatives à toutes semailles les gares sont des hôpitaux d'où fusent des cris solennellement perdus. un site éreinté . Une cahute, un acacia, une rigole, un gite, des Yaiselles à fleurs Voici la fin du jour où l'aimer s'infinise le soleil tombe le ciel qu'un nuage là bas couture d'une 1>atwre repi·ise un ciel d'hiYcr, un ciel de famine Ah' combien . 1 è , . quc ce c1e op re . Et suçant le vieux sein ct·une maitresse éteinte une lune débile - breloque de pauvre Pissenlits et gravats Pots de fleurs en pièces Ah ! le cœur en bouillie Je suis tout gémissant Un étang, au bord une cahute fait clodo mirée ld si doleiite sans s'éloigner d'rme octobres en détresse gestes endoloris masure da1ts le,; i>issenlits et les cailloux im âne à licol pâttwe d'un air rosse et doux stagne, stagne, pa1wre vie rien ne te fait envie Ce sentiment doux, simple, a pa.<sé Simple et doux comme une poule J1on cœur en a asse::; Il s'étire le soil·, C,·ache dans l'encensoir B1oliotecaGinoBianco

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