Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 13 - aprile 1891

- 105 - lées, extatiques, ce que les compositeu1·s appellent sousharmoniques - la strophe sonne plaintif - il a trouvé le plaintif attirant et doucement surnatu1el, vertige plaintif et impondérable (harmonie du soir) - le lyrh:mie plaintif -ses successeurs travaillentdansl'endolori- l'orage de sa jeunesse et les soleils mari?~ de s~s souYenirs ont clans les brnmes des quais de la Setne detenclu les cordes de sa viole byzantine incurablement plaintive et affligée. - hétéroclite jamais jusqu'au trivial. il a dramatisé et enrichi l'alcôve. jamais il ne se bat les flancs, jamais il n'insiste, ne charge. il dit« son beau corps nu >> - une fois - dans une pièce où ce -coin de photo. est noyé étouffé clans le reste (142) - mais c'est bien rare ,\ lui ! [7] la femme « animal obéissant et câlin >> XII « courtisane imparfaite » 134 aimable bête comme le chat amazone inhumaine 136 « Le soleil de sa nature », soleil blanc, minéral. sa belle ténébreuse tes yeux illuminés ainsi que cUs boutiques ou des ifs flaml>loyants dans les fêtes puvliqttes Yeux, soupiraux de ton âmt - Usent insolemment d"ttn éclat emprunté Sans connaitre jamais la loi de leu1· beauté Toute sa philo. féminine est là - Sois charmante et tais toi, tu ne peux pas savoir, tu es la damnation du juste - BibliotecaGino Bianco

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