Entretiens politiques et litteraires - anno I - n. 8 - 1 novembre 1890

- 288 - de _Vrnicy » - et on dit que la désunion est au camp 1·rYisioniste. De l'application du bill :\[ac.'.Kinley, la France se11lf' 1ù1 pas ù souffrir - la cherté relative de ses objets crexportation leur permet de supporter les exigences nouYelles d11 Jisc américain; - et ce sont, pourtant, les journaux français qui réclament la constitution d'une ligue européenne qui n·aurait serv_i que ... le c~mmerce allemand. Encore la hmte füanlev ! Lond1•e!-; ,31 octobre. -.L'opinion publique anglaise.prend de plus en plm; parti pour la fa.mille du ma.jor Barttelot contre Stanley. La cruauté avec laquelle l'exploratenr américain a puni quelques manquements douteux ù la discipline est l'U!1 des reproches très gra.Yes qu'on lui adresse. On attend sous peu de jours de nou ,·elles réYrlations proYenant de Zan:7.ib~r. .:-;-otrecollaborateur :'II.Pau·l .Achun, indisposr, 1ùt pu, ce mois, donner aux Entretiens son a.rtiele habituel; nou:, le regrettons pour nous-rnêm_es et pom nos lecteurs. :'II. Coppée l< 1·it, parce qu·ù ne c1·aint pr,s lrt mo1·t. » - Comment a-t-il « troitvé cela si rirticttlf' » que de ne pas craindre la nuit?- En tous cas il fait bien d'espérer en Dieu, car l'humanité, certes, ne lui accordera pas l'immortalité, dont il abuse temporairement sou::; la coupole de 11nstitut. ün anonyme thcz Bailly airnonc-r, düffres tcniblcs rn main, c-efait : « La !<'rance n'aura plus, a,,1nt 25 ans, qur trente mil: lions c1·11abitants,alors qne l'empire d'Allemagne rn possédera 80 millions». Cal'eant Gcttli! . X. B.-:\LF. nous prie de Yo1is.1\·iscrquece n'est pas son nom quïlfaut lire dans le n°7 des E:-;<TLlETm:ps.;s,2;;19,lig. 1-'5: tont autre nom, - hien. Le Gérant: .J.-H. Boi;T11011s. Paris. - lmp. UE.\UOELOTet .\liLIÈS, JO, rue de \'erncuil. BibliotecaGino B1anw

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