Entretiens politiques et litteraires - anno I - n. 3 - 1 giugno 1890

LESDEHNlEHJSOeRSD'.\LEXIS LE GR.t-LYD C02vLYkYE .lnne ·cv111nè11e;raiw 1<' de l({ fa111ill<'impé1·ialr>, ayant acquis une haute ,·éputatio,, cle .sc1r1es.,e t de sa roi,·. <:o,1.,pi1'ail arec l'aide de sa 111è1·eC, impé,-a/1•ice I1·è,1e. c-onti-c son f1·è1·<1'i11înt!.Jran 1,alos. ltoil' c-oa1·onné r!Pjà et dësir;né pou,· Ü! t,·â,1e. Il s·agiss({il de frti,·e (·ha,zve,- {oui,·!' de s111·(•e!<.,io,i pa,- Ce111p1:1·(•111· ll'ès p,·oclie de la nwl'l et fJtte lu11,-1}1(:,itaie11t clc fréq11ents, clc dolents ar·cès dl? r;o11!fr•. ,lnne arrrit épo11St; .Yù·1•jilio1·elJl'yr:n,1e. p1·011111 à la rlimzite rie C:dsa1·,et c·etait li ce 1w111q11'ellectr,sil'ait ruil· passe,· re11111i,-e. Lrr princesse ,-aconte elle-méme r·o,nme,it l'i111pé1·11/,-ic,e11 111è1·ei,i1clispe,,sable û .lle..cis le G,-and, le s11ii-c1ilen lu11s lieuJ·. cc Il mena aYcclni lïmpérntrice, qnclqucaYcr::;ion qu'elle cùl de le sui ne dan::; ses Yoyages. Hcstanl au palais. la plupart du temps. elle accomplissait se;; dcYoirs chrétiens, déYcloppait les linos des saints, s·obscn-ait clle-mème pas l'esprit, s'attachait ù la bicnl'aisancc cl it la li!Jéralilé e1wcrs ceux-lù surtout qu'elle samit scn·ir Dien par leur tenue. leur conduite. lenr::; prières cl leurs chants. Toutes les fois que la nécessité J'ohligcait ,\ se prnduirc en public, la pndcur la prenait et ses joues se counaicnt aus::;ilùl de rougeur. On rapporte anssi <Juc Théanc, nnc sarnnlc philosophe, répondit it quclqnc badin qui lui di::;aiten voyant ,;on hras mis ù nu par hasard : c< Oh le hcan bras! - Oui, mais non public. » .\insi la Basiléa. ma mère. image de de la Yerlu, demeure de la sainteté. arnil contnmc non seulement lie ne pas montrer en public son coude on son BibliotecaGinoBianco

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