Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 18 - settembre 1891

- 86 - de lycée [1] - Ils avaient leur oreiller. Et ils se croyaient d'une essence supérieure, d'autant plus justement que seuls au lycée ils allaient réaliser le rêve, le fin du fin, abandonner le lycée la province, aller à Paris. [21 Et it MonteYideoles semaines de grand Yent à silhouettes bousculées reprenaient le dimanche on allait loin avec la grand mère, endimanchés, effilochant une banane, manger une galette chez de lointains parents boulanger - Il y avait des rats derrière les sacs. le dimanche suiYant c'était chez un oncle qui avait une usine. ça paraissait riche - les cousins adolescents étaient toujours partis à chernl. 2 cousines étaient là. Que d'autre souvenir - ou dans un beau magasin appartenant au gel père maternel. Des matins on allait i;e baigner à la mer. [8] Il était temps d'en finir, disait une voix, voilà deux ans que ces projets de lois attendent à la Chambre - Nous ayons encore failli être noyés dans- les préoccupations de H:hision. C'est ce que le public attendait, on s'était arraché les billets, les tribunes onl fait une tête! - Une autre voix: C'est une grande victoire qu'on a remportée aujourd'hui et pour le Trésor (ci - une vingtaine de millions de plus) et pour la santé publique et pour les viticulteurs. - Quelle était la pro position de la [l] de faire comme ces autres brutes ne serait venue - [2] Un jour il avait six ans - diner très-long six surcharge sept. BibliotecaGino Bianco

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