Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 18 - settembre 1891

- 83 - mais naïvement, du français d'africaine géniale, du fran- <;aisde Christ. Et y ajouter par des images hors de notre répertoire fran-çais, tout en rest;int directement humaines. Des images d'un Gaspard Hauser qui n'a pas fait ses classes mais a été au fond de la mort, a fait de la botanique naturelle, est 'familier avec les ciels et les astres, et les animaux, et les couleurs, et les rues, et les choses bonnes comme les gâteaux, le tabac, les baisers, l'amour. !3] Poèmes en prose Le chatIl _e.stendre - nous nous aimons. Ses regards [1: sont sublimes. Hélène a dit en l'embrnssant : il est étonnant il ne lui manque [que] la pcu·ote o Hélène voiL'tpomquoi je l'aime. Il ne parle pas. C'est une bête qui dit tout par ries m'Jyens naturels - et qui ne s·émancipera pas de sa condition ùe bête - li pleut à verse d'un ciel tout clair! les oiseaux s'égosillent - le jet d'eau n'en est que plus gai - [1] yeux BibliotecaGino Bianco

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