Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 18 - settembre 1891

- 92 - d'heure de leur mise, de leur chapeau, d'une plume, d'une tournure, de leurs gants. Les cochers de fiacre ont encore les têtes les plus sages, adéquates au piétrisme de l'existence (à la situation.) tous sont non pas giffleurs ou gifflés, mais les deux comme causes et effets. le printemps revenait - avec ces premiers beaux jours d'avril où l'on hésite à mettre le pardessus d'été où l'on se traîne accablé le long des boutiques en clignant au soleil ~ prendre une glace. il est 7 heures bientôt il fait encore très-jour - le beau ciel - encore un été - comme l'an passé - etc ... [12] Après dîner, torride et stagnante. Les pieds cuisent, on sent battre ses [1] artères aux chevilles, sous le menton, au cœur, aux poignets, on doit tenir en l'air ù des embrasses ses mains déjà trop gonflées et moites, le moindre dîner Yous pèse, il faut défaire sa cravate, on souffle si prnfondément :2J, la cigarette qui ne quitte pas le coin de votre bouche est consumée en douze bouffées, la peau trempe. - Que je serais malheureux si j'avais des seins, et étais nourrice! Ou si, un de ces musiciens miiitaires f.3:, je demis sanglé dans un uniforme, souffler dans un trombone des clanaides, au jardin public. Ah être une mouche clans une cuisine aux [Il les [:2 8a crnrnte_. à force _d_csouffler, la cigarette [ô Ou s1111us1c1, eu 1111htairc, Je BibliotecaGino Bianco

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