Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 18 - settembre 1891

- 8D - lui serait, où qu'il afütt un oreiller d'indulgence pour toutes les créature,:, et qu'il était depuis la vP-iltedécidé ù commencer son temps, en d'autres termes puisqu'on l'absolvait sans l'entendre de raccusation d'être trempé pour l'accomplissement de grandes choses 1J, it aller s·enquérir de certaines histoires aux EnYirons de raudelit. A hu il heures quarante, montre en main, ce n'était plus du délire, mais un je ne sais quoi qui 1ùt de nom dans aucune langue, comme dit Marmontel de Pompignan, surtout dans notre belle langue française, cette « gueuse fière » comme a dit Voltaire L2:, notre maitre à tous. Toute lïncompréhensible, l'insaisissable désolation d'exil [ô] des automnes de ma vie quï me sont restés sur le cœur crève dans le vent qu'on entend aujourd'hui. Hien, que je sache, ne co:nblerait la dérnstation que ce vent a balayé en moi - Une vallée de Josaphat d'ambitions inconnues. Je ne sais rien faire - Je ne suis bon à rien. Je n'ai pas de but - Rien pourquoi je ferais un pas, aujourd'hui- ni musées, ni Yoyages, ni J11P,rsn, i femmes. Et les gens travaillent, brute. - En haut le frotteur cire le parquet - On entend des vaiselles. J'ai clans l'oreille, le navrant son de cloche des mille petites [4: gares allemandes. Et des ombres de peupliers, longues et vaines vers 6 1/2 du crépuscule. Il] oü qu'il allât un mémorable oreiller mais qu'il avait fait sou possib!e, et qu'il élail depuis la veillP. décidé à jouer son va-tout, en d'autres termes, à aller s'enquérir [:.!l B0ileau (il désolation des automnes I'• des petites BibliotecaGino Bianco

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