Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 16 - luglio 1891

« méchant ferreur de cigales n vivre avec son imagination. le venttles côtes de bretagne lui a faü trouver et aimer le verbe plangorer. habité Montmartre - fréquenté les crémeries - et les bals de boulev. extérieur - fait de la peinture - dormi sur des di vans dans l'atelier de quelque artiste - discuté Galimard, Courbet et Manet. [21] Deux parties. Une où il raconte en vers sans armatures, ni volutes, qui se désagrégeraient sans le coup de fouet incessant de l'expression mordante et la poi~ne d'ensemble. - Sans esthétique - Tout, et surtout au Corbière - mais pas de la poésie et pas du vers, à peine de la littérature. L'autre plus intime, tout subjectif, replié sur soi ou à Paris ou sur l'eau et très-self aussi comme métier sans que ce métier soit riche, - non un art mais une manière - Une tenue très-chic non une esthétique_profonde. Quant à l'éternel f~minin qu'il appelle « l'éternel :VIadame » ma dame ce joli mot des cours d'amour dn moyenâge la femme qui fait des manières: En serez-V'Jus un peu moins nue, Les habits bas 'I (p. 131 il a connu la fille des congés à Paris - les exportations sous toutes les latitudes accablées - Don Juan mysogine de courte haleine - le mépris d'arBibliotecaGino Bianco

RkJQdWJsaXNoZXIy MTExMDY2NQ==