Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 13 - aprile 1891

- 119 - S'agitant et se {011t mille sirpws cl1' loin, Joyeux d'avoir peigné les chaniltes cle toin Baudelaire chat, indou, yankee, épiscopal alchimiste chat sa fa~on de dire « ma chère» dans ce morceau solennel qni s·ouHe par« Sois sage, 6 ma Douleur» Yankee ses« très-)> deYant un adjectif ses paysages cassants - et çe vers « mon esp1·it, t1, te ,1wus a~ec vgilit.J • que les initiés détaillent d'une voix niétallique. Emblèmes nets » (p. 2'i<l haine de l'éloquence et des confidences poétiques. Le plaisfr vapo,·eux {uil'<t 1:ers l'hori;on Aù1s ique ... Quoi? Annt lui Hugo, Gautier etc aurait fait une comparaison française, oratoire - lui la fait yankee sans parti-pris, tout en restant aérien Ainsi qtt'ttne sylphide au fond de la coulisse On voit les fils de fer et les trucs. li reste aérien et noble - et ne détonne pas dans le contexte si pur de tenue- en disant les tuyaux les clochers ces 1,111tsde la citf (toute cette pièce est si calme noble!) plus loin le mot << pupitre >)24.9 Hindou - il l'a cette poésie plus que Leconte de Lisle avec toute son érudition et ses p.oèmos bourrés et aveuglants Des jardins, des jets d'eau pleurant dans des albâfl•es Des baisei·s, cles oiseaux chantunt soil· et matin bloteca G1 o Banco

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