- 113 - c. ,·l d. ce qui Ne Change pas, c-il d. l'Eternilé. le Silence· la Beauté C'est le Silence éternel - Tout notre tapage de passions, de discussions, d'orages, d'art, c'est pour par le üruit nous faire croire que Silence n'existe vas. Mais quand nous retombons las, nous l'écoutons restagner de partout et nous sommes plus tristes - 0 impuissance et Hemorcls. . . , . un tapage . . pas assez for b pour une passion éternel ou pou1 nous faire au Silence éternel. Nous sommes chrétiens et nous avons là-bas des souvenirs helléniques Vénus et la mer aux matins, souvenirs idéa!isants. Jr vo11d1·ai... Et que ton ,ang chrétien couldt à flots 1·ythmiqnes (p. 98) Cercle vicieux : . ,_. , . . é 1 Silence (la mort) Jusqu a ce qu epms s e temps, l'infini (Eternité, Espace) nous passe par dessus - comme l'océan se referme sur un bouillonnement de navire sombré, -- ou les siQcles sur une épopée comme celle de Napoléon, - ou l'espace sur une planète morte (14.] théorie du damné - du Satiirnien (v. Verlaine) « ce livre satun1ien 01·giaque et mèlancoliqae Tous ceux qu'il veut aimer l'observent a-uec crainte Ou bien, s'enhard ssant de sa t1·a11quillitè Cherchent à qui sau1·a lui tirer u11eplainte Et (ont stii- lui l'essai cle leur (èi·ocit, BibliotecaGino Bianco
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