Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 10 - 1 gennaio 1891

:31 - :.L ,Jean :.loréas parle hant au nom de son ,u't - toul · de premier plan:_: il en a le droit : ses beaux vers lruc11lcnls comme des frnil:-; du midi, gorgés de snc::; épais cl l l'Opdoux sont hi('n des pl us sapides que nous ayons goùk. Comme nous aimo11s ouïr : « .\gnnippiclPs .... c·est votre l1alcin<' rertil<'. :-Sacrant Jill\ bouche iuutile tJui r,lit qnïndignc je ,;ais, JJc ~Pnlil ,;on et tic haut style. Hn11;;sc1· J,, non1brC' Fran<;ai ·. » Ce livre a <'.·Laéccueilli par le:,; critiques du Temps. du Figaro, etc. etr., comme il se devait -- et de telle sorlf' que nos protestations indignées conlre le silence dont on î•louJlc d·ordinaire les belles œnvres Jittfr,lires doivent. aujourd'hui se muer en éloges; - nos frlicitations donc-h ~E\I. J ◄'rance et B,trrè,; ..... mai::; .Jules Laforguct Ît<'Jll de J}lli"ctitl'e Chez TnESSE t't :-,TocK: L'Jm1rré1:u, pat· G. Guiches. Une étude c1·0goïste, lernl' et grise, écrite d'unr fa('on honorable et sans charme. Chez GENO.:\'Ct,AlJX : Les chants de ~1,Ja/llo1·01·, par le rom te de Lautréarnonl. Hé{dition d'un line qui htisse loin derrière lui les hlll'- lemrnts de Pétrus Borel le Lycantropc, mais qui ne rctp1iert pas un plus grand intt•rèl t1ue le Champavert. A ta Lib1·ai1·ic d<' {A1·t Jnllépend.ant : 'l'ète cl'or-, un dr,rnw ::;ans nom d'auteur. où queltrurs belles scènes YisihlernenL (lrop peut-être) inspirées de Shakespeare et dï~scl1yle. ::-.;ous ne comprenons pas, d'après quelles loi::; rythmique::; ce poème est écrit. ....1 Gand: J.:Etudiant sociatiste, journal mensuel. Pout· J)Ct1'aiti•e p,•ùcllaiHCiJ1ent : .!énm·, poème légendaire, pnr .\. Delal'Oche. L'Echa,pe rl'I!·is, par.\. Saint-Paul. ot ca Gino Bian o

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