Entretiens politiques et litteraires - anno II - n. 10 - 1 gennaio 1891

7 11 n'y a par rapport ,'t lïnfini dé,;ir (cet amour de l'ül;•al qui 111ènc le monde) ni Le bonheur est une co1wcntion comme le syslèmc des poids cl des mesures. Je mens en disant que .i<' suis heureux. en rc moment, on que je l'ai été, mai:; Demain! Demain je serai heureux C'esl comme l'enseigne du barbier gascon. Aujourdïrni en p,1yant, demain. Les cornnnrnianlcs. Jes mondaines ù la messe l c( avoir de l.1religion. 2 « arnir la l•'oi ! i cc ,1voi1•réellement le sens du Divin! La Femme est pratique - clic vi L dans le fini - <'111' n·est pas trbsl<' - !"Homme est son hon dieu, son fétiche son infini - l•:Jlcne comprend pas l'histoire ancienn<' - l'archéologie - celle:-; 1111ipeignent ne comprennent pas les vieux Lableanx gauches - l' :\slronomi,' 110 l'intéresse pas - mais la médecin<' pratique oui On a chanté leurs mollets! LI m·csl aniv{· tl'Ois, quatre fois qu·une femme, it din<'l' clans le monde ou dans un landau aux i places occ11pées m'ait fait le pied - mon pied restait figé, insensible, passif, inconscient, mon regard ailleurs, ma conversation fort vive - je n'y C"royaispas - je me <lisais sur le 1noment même après chaque frùlcment de ces pieds gantés de chevreau. je rêve, voilh tout ra 11·c:xiste <1nedans quelques romans de P. dcKock . .(Chel"cher le:- misons phy:;iologiynes, sociales, etc.) Pourquoi la femme aime-t-elle rcux qui souffrent - (ra luj rappelle-t.-il sa condition d'esclave ?J B1bliotec Gino B1cnc,o

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