Entretiens politiques et litteraires - anno I - n. 5 - 1 agosto 1890

- 1G8Il nous denl<L\.I,.;acer1ue :\I. Henri de Ré•gnier ac-crptcrait unr part <Ir dire('lion à frxc-ellrntr ren1e liégoise: La Wallonie. ::-.:osfélicitations h l'ancienne rédaction. Demihe heure (de l'Eclai1·): « ... ~I. C. ~fcndi·s ne se met pas à son bureau, il marche dans son cabinet de lrarnil, ne s·an-étant que lorsquc la phrase es! arrêtée dans ;;atête. alors il la fi.1:.e.. » « Quand j'étais prwvre, nous dii,Catulle i\Icndl'.·sj,e me servais de plumes de fer ... n «Le fluide maynéliqzœ qui s'échappe de mes pensées se !rans mol plu::;facilement sur le papier par mes plumes d'oie. » «... ~f. Catulle ~Icnd/.•s,uni:smdilc qui r,:ssembleau Christ. est lri·s bienrcill.ani,pour les jeunes cl très attache h ses amis. Très jeune de ca1·aclfre, il adore la jeunesse. » \ïcloirc Salrnloricnne ! J;ar1·ière-garde du géncral AntonioEze!as'est emparé-,sans grande résistance, de COCO (?) où elle pu se rafraîchir. Cne diYisionde 130 hommes menace la capitale. LP Gi-rant: .J.-R. Boun,011,;. J'..1ns.- J1np. JJE,\VLIE!...1e.rtr )liL1È:,, 1U, rue <le \"erneuil. BibliotecaGino Bianco

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