Entretiens politiques et litteraires - anno I - n. 5 - 1 agosto 1890

- lûô . mystèrr: mais. peu chicaneur. _jr \·etix eomprcn<lrc <rue <·etrrmr rxprime - r1.·or111('111e,1t, cr en q11oiil est :Hl(,rpiat :in srm hla 11t dïdér ,;uggt'l'é) - l<'con trairr ll'IIn au I l"i' srmhlan t tl'id{'e ,rnggér(' par r-cttr aulre exprcsssion aussi Yagur, du reste:« une soin<' iJ1s11iratio11 »: Edgar Poe. par exr111ple, rst. selon Laroussl'. « <l'nnr imagination tlérégl[•p » et :ulmcltnns. po11r plu,; tlP cl:u·t(•. qnr :.\I. F1·:rnr:oisCoppér soit d ·11 n soli dr 1 ~-rismr ( 1) -- <l II r<•sl<•. hrusq11ons la cnndusion: rad est 111almlif'. n·esl-cr' pas 1 :.\L\L.\DIF. Yoil:'tlc mot. qni prul nous mrllrP <Lwr-ord: qu'csl-cP.rncffet. qu·un mala<lc1 nn êlt'P où H•rJtiilihre 11ormal n'a plus lieu. to11lc acth·il<' hypel'lrophi<1ur d'un organr s·alimenlant aux d(•pens 1l".1t1tresorgane,.;: hors. done. la hrutc humaine il 11·~-a. rigoureuse1nent. qn<' drs 111ala<l1'sdans I"lrnmanil<"•: rarlislP. r, (or/io,·i. est 1111 rno1101nane et un détraqué: la prnsée sNail 1111 pt•ché ronlr<' 11al11re: Ir' g(•nir u1w folie - c'est 1L1illcurs l',t\·is d<•:.\Dl. Lombroso et H. Taine. Yo~·pz donc. :.\L ti-orgias. rart srrn toujours le fait dr malades rt de fous et. l'oli<•pour l"olie, le m~·stiris1nr <'n Y,lllt unr autre: 11uïmporl<' <Ill<'l'on rami•nr l'art « aux erreurs de la philosophie» - e1Trnrs pour erreurs. c:1·llesJ;"1 rn YalPnt d·autres: - cl puis. ne rouhlirz pa,-,. il nr sern pl m; <rucstion d'art lors de ra \·ènemrnt de cet te « ra('r des forts» - Cnr. ù thimirrnenwnt parler, l'action et la pcnst'(' sr déplacent mul11Pl!cnwnt. La pc\lagogie a bien compris cc qn',waient de 11rnlsain ers rx.d•s du ccn·eau agissant sur lni-mème par la réflexion. Drs homme:; <lh·oué,.; ont organisé la Julie en ehargrant les programmPs: au moyen de m,rnu.:,ls résnmatcurs dont la lrctlll'r exige donzr annérs de Yic ri'glement{•<'. :'t raison <le 18 hrnrcs tir lraYail par jour. ils ont su g111•1·i1· l'enfant. puis le jeune homme de cette fatale manie. si répandur autrefois dit-on, mais qui, en ('Ctte lin de siècle, se fait dr plus en plus rare: la manie de penser. Elle a crn créer ainsi une génération saine, où (1) " Ah! les lemp~ étaient durs, la Yi<'i•tait amer<'. Il ,·ola, pour mourir, le charbon de sa 111èrc.., n etc., etc. B1bliotecaGinoBianco

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