Correspondance de P. J. Proudhon - Vol. 1 - 1875

DE P.-J. PROUDHON. ' , 23 me prépare d'amertume; tout cela est perdu pour moi l Grace pour un regret si égo:iste l j 'eusse voulu, avec lui, ne faire qu'étudier et lui fournir quelques bribes d'idées, lui tenant toujours la plume. Il me semblait' qu'il pensait pour nous deux, et que ses pensées étaient les miennes. Désormais je n'aurai personne. Que je devienne Platon, lui disais-je, et vous serez Socrate. J e p. 'ai plus que le regret de l'impuissance et de l'inutilité de ce vceu. Puissé-je, Monsieur Weiss, avoir rempli votre attente, et vous avoir fourni quelques données sur un jeune homme qui fut votre fils. Ce serait encore un sujet de consolation, pour celui qui a1nbitionne la centième partie de la place que Fallot occupa dans votre creur. p. -J. PROUDHON. Biblioteca Gino Bianco ' '

RkJQdWJsaXNoZXIy MTExMDY2NQ==