Correspondance de P. J. Proudhon - Vol. 1 - 1875
DEP .-J. PROUDHON. 63 n1 altendre à trouver ici autre chose. Dites à MmcL*·i:+;, posément, de ma part, que sa lamentation ·m'a fort amusé, et qu'en la lisant: je croyais entendre un Stabat . matm~ dolo1·osa, avec accompagnement de vielle. J e veux qu'elle m'en demando pardon la première fois qu'elle n1'écrira. ; J'ai vu ses deux beaux-frères; j'aurais bien des choses curieuses à lui dire à cet égard; je me contente pour le moment de la prier de faire encaisser les 500 volumes de Bains Russes, et de les déposer dans quelque coin de grenier, chez la Benoite, ou partout ailleurs. Les envoyer est inutile. J e passe aux choses plus importantes. 1 ° Mmc L*** aura la bonté de faire un paquet de 25 a-Kempis, pour lvI.1\1athey; je fle sais par quelle fata- lité je n'en a.i trouvé que 177 dans ma caisse au lie-u de 200. Elle y joindra un exemplaire de ma G1~ammaire 'ltniverselle, cinq feuilles un quart, qu'elle coudra avec une méchante couverture. J'en ai le plus grand besoin pour travailler. Je me propose, à l'aide de quelques corrections et changements de l'envoyer, avant mars prochain, au concours du prix fondé par Volney, ti l 'Institut. 2° Vous ne me parlez point de ce qu'est devenue la pétition pour la 1nutation du brevet. 3° Quand MmcL·*** aura un moment de répit, je dé- sire qu 4 elle hroche quelques centaines de Bergier. Mais auparavant il faudra changer le nom de l'imprimeur aux couvertures et au frontispice. ~1ais il faut attendre pour cela le résultat de ma demande au ministre. Après cela, j'adresserai un article à l'Ami de la reli- • uion. 4° J'ai vu M. Pareut-Desbarres, qui n 'a aucun besoin Biblioteca Gino Bianco
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