\ UN MOT A SCHEIDEJ\fANN 185 endurent, depuis vingt et un mois, tout ce qu'un peuple peut endurer, mais ils sont prêts à endurer plus encore, pour reconquérir ce bien inestimable.;_ la liberté. Pourrions-nous, dans ces conditions, alors que les armées allemandes sont campées chez nous, organiser des palabres pacifistes avec ceux qui, dans leurs votes, ont approuvé l'invasion et sanctionné l'occupation armée de notre pays? C'est moralement impossible. Scheidemann et ses amis devraient le comprendre et ne pas insister. Émile VANDERVELDE. B b 1,ter- 1G1'lo B 'H o
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