::.,_ -8627 mat. « ... Mais les· Turati, Modigliani et autres Matteotti sont priés de se re-cueillir dans le silence de_s trép~ssés, car le fascisme -cqmmence à être repris de l'étrange nostalgie des année~- passées ... » Popolo d'Italia, journal de Mussolini. 17 juin. « ... Si l'on répète la manœuvre, Celli (député), on fera usage du pouvoir, dont Je président M.ussolini par.la dans son premier discours après la marche sur Rome. Qu'il se penmade que la révolution d'octobre fut une véritable révolution et qu'on regarde autour de soi pour constater la présence de 300 mille chemises .noires ». Popolo d'Italia, journal de Mussolini. 19 juin. «... Il faut que personne n'abuse de notre esprit généreux parce qu'alors interviendrait la force. » Si les « résidus » dont je parlais ... continuent à occuper encore quelque temps· la scène politique, ils savent, et tous les Italiens doivent le savoir,. que j'appelerais les chemises noires, dont beaucoup s'impatientent. .. ». MUSSOLINI, discours à Crémone. 8 juillet. «... La révolution fasciste a eu le tort de ne pas déférer à un tribunal spécial de défense nationale le triste sénateur qui trahit les Dalmates par une campagne infâme. Mais beaucoup de fascistes• n'ont pas oublié et n'oub~ierons pas, de toute leur vie, la trahison de M. Albertini. ( 1) Popolo d'Italia, journal de Mussolini. 8 juillet. ' « Les « subversifs » ont inespérément tro.uvé des alliés ( 1) Le sénateur Albertini es.t le chef de la maison qui édite le Corriere della Serra de Milan, le grand journal libéral antifas·ciste. (Note du traducteur). BibliotecaGino Bianco
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