UOMO - Anno III - n. 4 - dicembre 1945

monde. par ses réflexes et par seS' diverses sécré– tion ... L'inne n 'agit pas autrement contre l'inhu– manité de la nuit... Nous trouverons clone en nous deux ordres de réponses à la sensation que j'ai décrite ... Les uns seront sponlanées, et !es autres élaborées... On !es distingue souvent en attri– buant les unes au ra:m·, !es autres à l'esprit... Le cceur finit presque toujours, dans sa lutte contrc la figure effrayante du monde, par susciter, à farce de désir, l'idée de quelque Etre assez puissant pour. .. Voilà ce que le coucr lrouve. Il tenei à se réponclrc par un clieu... L'esprit r11erche ... (Il) 11e se hàtera pas cl'imagi 1er ce qu 'il faut pour ;;ou– tenir la consiclération de l'univers ... Nous obser– ,·erons que nous ne pouvons penser ù notre uni– vers qu 'en le concevant com me un objet nettement séparable de nous, et distinctement opposé à notre conscience. Nous pourrons alors le comparer aux petits systèmes que nous savons clécrire, définir, mesurer. expérimenter ... Camme !es hommes ont accepté !es antipodes. ils s·apprivoiseront avec la « courbure· d'univers ». et avec b.ien d'autres étrangetés » (eia Variatio11 sur u11e « Pensée », in Variété, r-18-152). E' un testo centrale e mi basta illuminare questa frase: « L'ame n'agit pas autrement contre l'inhumanité de la nuit... ». Dove è lecito scorgere la condizione della sua « umani– tà», la diminuzione portata all'intera vicenda dell'uomo. la ricerca posta di fronte alla sorpresa, il numero sollecitato della paz'ienza contro la voce esclamata dal miracolo, ma Valéry non vuole ap– profondire per non dovere ammett-ere che anche nel secondo caso una « ricerca » è possibile e forse .\9