Pègaso - anno IV - n. 12 - dicembre 1932
658 C. Pellegrini pas attaquer, puisqu'elles ne peuvent pas se défenclre. Je me suis déter– miné à, tenter la publication de mon livre, sans les jésuites. Mais je le publie par livraisons parceque la pr•, que je ne crois pa,s alarmante, établira, j'espère, assez la réputation de l'ouvrage pour qu'on n'ose pas m'arrèter en suite. Je vous envoie quelques. exemplaires. Donnez-moi de vos nouvelles et croyez, malgré mon silence, à ma sincère amitié. E quando, negli anni successivi, lo storico si recò a Parigi, i due amici si vid_ero, come risulta dalle letterine che seguono: A M. Simonde Sismondi, à Paris. Paris, 6 avril 1824. On nomme ma Commission aujourd'hui, mon cher .Sismondi. Il me sera clone impossible de vous voir demain matin. Car jusqu'à ce que la chose soit finie, j'aurai toujours ou à travailler ou à, courir. Si vous vouliez passe:r deux heures chez moi dans la soirée, je ne sortirai demain qu'à neuf heures du soir, pourvu que vous me le fassiez dire. Si vous ne pouvez pas, il faudra que j'ajourne à mon grand regret le plaisir de causer avec vous jusqu'à. ce que je -sois sorti cles mains de la Com– mission, ce qui au reste n'ira pas, je pense, au delà de cette sema,ine. Mille regret.s et bien tendres amitiés. A M. Simonde Sismondi, à Paris. Oe 31 aofit 1826. Je voulais vous écrire, cher ,Sismondi, pour volis prevenir de l' in– vitation de ì\il. Laffitte et de mon désir d'y aller avec vous 1• Il n'y a qu'une difficulté. Ma femme est engagée à diner à la campagne, ainsi que moi qui me degagerai. Mais je ne veux pas lui òter s-a voiture. Or comme nous lutterions et seulement pour cette voiture unique, je vous prie d'en faire commander une pour mon compte chez vous dimanche à 3 h. J'irai vous trouver et nous ferons route ensemble. Un mot de réponse et croyez à toute mon amitié. A M. Simonde Sismondi, à Paris. 1826. Cher- Sismondi, je suppose que notre partie pour Maisons· tient et je m'e,n fais un grand plaisir. Je vous attends à, 3 heures. Il faut à peu près 2 h. pour y aller: Mille amitiés. A M. Simonde Sismondi, à, Paris. La Grange, ce 23 8.bre 1826. Je vois avec chagrin, mon cher ami, le temps de votre séjour à Paris s'écouler pendant que je suis à, la campagne. J'avais toujours espéré BibliotecaGìno Bianco
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