81 vie nntérieure, au 'temps ùe l'exil, ne fat qu'une éternelle séril . 1 ~ , , . de complots niais, ti'ave1,ture~ imbéciks, de rei3tio11s hor•Ynes et d, ~ ~ran,.~ ame ~ st tl tomhe.1_u;;u trébuc.i,cs C~ 3 '. 15 _,a, mut, et, d~rpropar~anrles grotesques. Il s'appelait alo:-s Str!lsbourg, 'J3ouloo- 11c, .iieLi r.i:ll,J(•t_,.-, es 1: 5 u; rcvwn( i_o:itpéa~ue n 1 mee · E 1• t L' • 1 é ·1 ,- • I'. • 1 .0 e p:-c1111eermptie 1-ut un cnme c,atant e second ne sera ~ 111on. a1g e •tant mort, 1 s cta:t .:11t e penoquet de Samtt•- , ' "[Cr•1è I l d • ·1· cl ) • ·11 A 1 ' . qu Ull potc:au. ~ e ne, et es or s 01s1s e ,a v1c1 c .,-,ngctrrrc l'entra111a1ent dam B · lé · · 11 1 · leurs clubs, dans leurs chasses, dans leurs' ch.1teaux, comme un Ham. I· . onrgco1s, pro ~a1rlcsa, r!1s!es, 1 ) li os_op.1es,et vous a_uss1,sollet ,J~ f'· t -~·, < ,lb. vous avez tous a m1ss1011 1umarne: vous travaillez tous c~ anabH. d l'é l 1 1 ' Aujourd'hui, le voiià sur un trône perché comme le vautour. 11ou e, qu:rr,~, ou t_e a p,ume, on par le commerce ou par l 0péc: 1 ~ '. . , , vous ercs l'eo-11sem11verscllede pro1iarrandc. est empereur, gr~m -maitre et grand Juo-e, chef des armees, volonte L · d,, ,, b" . , • , • .. '"' a1ssez 'lllC vos peur~ ou vos ·un, 1'•ons ou ros svstèmes supreme et wuvera1nete vivante: 11 a tous les attributs, toutes les • , l ,, ' ' 1 " ·' . ,· 1 .. f • 1 1 1 , . • . qui n ont pas une ue,1rnc ouverte cans cette nuit et ra uez- orces, tous es commam ements. toutes es <lec131011$e,t que sort-11 i • é . • • • ', bl de cet homme-D,eu, de ce c,étin-Providcncc? vot~~•pour qne nos' cstll: 'es ne so,~nt p~s, a111s1,m,.:'ern es. Voyrz ses ,\ecrets, vo ·ez le nn, vo 'cz la uerre ! . S1vous le _vou_lez,à votre a?pei, la l• fan ce rena1.tr_adans les Ses décrets réglemcnt~nt, a} t~mpor~I, pouf les guêtres, les uni- tdé<!Sd,1:ns ladJusu_ce,~:mg la paix profonde : nos d1v1s1onsseules f • 1 J I 1 • l " 1 • 1 ' .. 1 , sont a 1orce u cnme. ormes, es ga ons, es c 1cm1ns cc ,er, es taxes, a pa11e ou I ardoise, le. hugclct, les camps ; pour les maréchaux, les préfets, les CIIA RLtS RIJ~ EYROLLES. ministres, les caisses d'épargne et les listes civiles : i!s embrassent tout: den a fait deux mille! (Extrait de !'Almanach de l'E:ril). :!\fais, dans cet.te administration-c3serne, cherchez une loi sérieuse d'activité, de responsabilité, de développement ; chtrchez un or"a- ------------------------- nisme intelligent et vivant dans cette vaste anarchie de forces ct°de nu LI I'1'l Nl I' I s l'11AIN I,' contrôles que l'intérêt et la peur stuls rallient. Petits ou grands, J ~ l J \ J A 1 \ 11 . Ï .l!.. tous ces fonctionnaires n'ont qu'un Lut, s'engraisser sous le CarnavalEmpire; et, comme la Presse n'est plu~ là, pour crier An voleur! comme la loi doit respect aux gens du pouvoir qui l'incarnent en . eux-mêmt.'s, le gaspill:tge fait merveille. A la date dn 8 J anv1er, le Prince Menschikoff L? p_aysle sc;1t,_an:xcharg_csqui _i'accablent; mais il ne 1~voit pas annonce que la situnlion de Sébastopol n'a sohi aussi bien quel exil. On a frut les tcnèJres dpns l••sc~mpao-nes da•1s ] Il ' · l ' 1. ] ks villes. jusques dans les s:tlons. E:1 vertu dt~ ;Hi;1cipe d'a~torï'té, l-e~ au~nn c.1an!reme11 t. . etmt tom )e O€'~ucoup. c ,: vérificatious et les contrôles ne sortent jamais des ca:lres. La neige le 8. Dans la nuit du 7, denx ~ori1es avment bande qui touche tient le~ !_ivres_! été foites contre les tranchées ; dans la première, Le pays va, par l'a<lmm1stratw:1, à h ban1ueroute, au suicide; il 1 ~ A 11·'.. .• . . - ,: " . , . · b . ' • v• pai· J·• (li·set·e (Jui· d'"pu·1• dPux s d' 1 d 'è - .e.:, .1es, })tlS p,ir su,p,1se, al.r<11ent eaucOll[) ., a ~.. L , . , .: :s ... • an , c1,•orees cn11 res cpar1 • gnes ; il y va par l'usure, pnr les longs chomagcs, par les cmprunts;SOnflert. par _la lassi_tu;le c!<:s ac_tivités et dc•s1ntelligencE:squi n'aiment ni la 'l'(•!les sont les nouvelle~ <le St-Pétersbonrg-. serv1tude,n1lombre:ilyvasurtoutpa,hguerrc, L ' ' l P'I" · t ' Ci··inie'e L . . L • . . . ·., . . . e o-enera e 1ss1er es envoye en . a gucirc ! e premier emp?rc la fa1sa1t, seul ; mais il préparait, b , il organisait et courait rapide; car la guerre c'est la tempête, c'est pour prendre le comrnundt~ment des troupes ass1ele vent. ..... En t1:o!smois, ses évoli_1liousétaient des victoires, et ses g·f'antes, le géllérnl Bousquet 1estant ù la tètt-> du quatr~ grands tr:11tes,Campo-Form10, Presbourg, .'l.:niens et Tilsitt, C . d' b . ( t 1 0 .:, ' . l C•., . b t . _ ne coutèrent pas, chacun, une saison! 01ps O S{'fVa 10n, e e be11era a.l!O er con Le nouvrau 1'acitur11e est p.us lent. Yoi;i\ dix moi~ qu'il est engagé servant le commandement en chef. contre l<'s llu~ses, ayant pour alliés les Turcs vainqueurs et l'Anglc- Les prillces Napoléon et duc de Cambridge, et terre marchande. Ses flottes comme ses armées étaient nombreuses. l o-'. ' ., l t d C· r 0 . • • t E opuientes et bien chargées de soldats et d'obus; ils av:iient, lestrium- e t,cner,. corne_ e arc lbon 1ev1Anne11 en uvirs à couronne, tout ce que la science, la richesse, la bravoure et!(. rope. On se plaint beaucoup, dans le camp, du nombre pouvaient donner : eh bien! ils en sont, depuis quatre rnoi$, maréchal llacr!an, ii. Sébastopol: ils n'avaieut prévu ni le chol6ra, 11i les pluies •1ila J d fi,.,/ ] N" 1 t é l t "tt' . , • 1 1 11 - 1 - '. • .Jes eux s ce 1co as on o-a e:nen qm e te,npete, 111es >a es : 1 s ont ch:mte, par toutes Jci;:-s uattcnes, l:i , , t, . chûte du petit Ilion, et ma;ntcnant voiLl que leurs légions fic con- 1 armee pour rentrer ddns leur palais. - On anchen! 1 ~t tombent, comme l'autre. gra11dcarmée de Russie qui dor:, nonce que les Russes ont franchi le D,innbe, d:!pu1s (]uarantc ans, sous la neige! ., h• l · f) 1 . d". ·h· ' S· <l nk p. l . d .Aclministratcl'r •·olclat "r"J<l ;;c01. 0,11c (leo n t l . , env« ,1 d JI. ODI ll Jcl, et C clSSe a , ,lC la e ~ ~ • • , - {. , b n.. .... • .:, C~l ps e ces annce~, rr I I v l'a11t,_-e unp :reur, le gr:in,l empcrcu:· e$t mort, hi<·nmort! son ne\·eu, ll te 1,.1. dep~m 1111 an, mange son d<:rni_erhonncu:·• cch'.i des r~uerres . Plusieurs régime11ts ont qnitté la France pour J:..t, comment, la France qui est une revo!11un·1 q:.11es• une p·1tne f! l' , 1·•· , C · ' 1 · d' t • • i··,. 1 • • ·' ' ' ron,orcer ex118c 1L1on ae nmce: p us,eurs e asarnte, t]Ulest H,..?e 1•1m:11ne,a-t-elle pu tomber esclave, sous cette r- , , . . m:iin sa:1s gloire, sous cette main pleine de vipères et tâchée d.) sano·? chemeuts de la Garde ln1perw!e sont aussi en A vo_us,hourg,~ois, gnnds et petits de réponclre ! 0 route. Une partie de l'armée d'Orner Pacha est A toi, peuple des villes et des ca111p1gnes, martyr des légendes J' ·' ' E" t · '1-, t I eu de l'e~pér~Me. < ep. a_ ~pa ?na. ou ~nnonce qne a gn;-rre va A vous, lettrés, philosophes et saYants, qui i:e savez pas ~oufri-ir,devenu- btentot plus nctive et, par consequent, qui ne savr~ pai, mourir pour la conscience humaine. plus meurtrière encore. Les maladies déciment A Yous, soldats, qu'enivrent les chroniques et le vin· , . ' 1· 1 ' ~ - • · - · · c b' • c les armees ;1 rees. • vous, partis ,tu passe, qui Jurez par o .e:itz et par laremont: . 1 • • , A vous tous de répondre! Le Constitutwnnel nyant nnnoncc que les amLe~ bonrgeo_is avaient peur: i_ls rê\'aient pillage, incendie, mas- bassaùeurs ;11,gla1s et français ù Vienne av aient ~ncres, en p!crne et grande lu:n:ère. , r · - , · !' Le peu')ie <1Ps\'illes 5 •111 r 1, -,·t 1 • 1• ~ ·t outrepllsse ,eurs pouvoirs en neg-oclèlnt avec am- 1 • •· ., , c..:.1 e <CS a .. r- 1ers, csp!.!rr11 en un b • • ,. , l bl mes~ie socia!i~te, et le peuple des cilmpag,ies 1,c sav:iit <ju',\.usterlitz assadeur russe sans que celm-c1 eut prea i1 ect Wagram. . . ment accept6 sans r;sen;ri " les quatre points", Les lettrés ne pouvaient pas aligner leurs sonnets et leurs pensions I c d, •t t b, .' 90 <".. .' ]· B • d clan• Jn tumult" i·énull)i·c~1•11 C't , ··t. 0 , é d' cl' . l 8S 10ll S SOI, Offi es a .l <l!1CS a a Out Se e •• ~ .... 1 • , , , p~ll ~ f}Hl \..!S acl c1n1es ou ce . l:oudoir;, il~ Ïl!VO•JII.iicnutn Jupiter, ponr ks rosées et la paix clc Pans. l Olympe,., . . . . M. de Bonrquenev et Lord Westmorelancl ont Les so,aats rarlavrcs de la d1sc1nll'le ne J>el'S"l"llt 11as ma·1s ' • 1 d ~l • [ • • tu:,icnt ! ' ' • ' • "' ' ecrit pou!' c.eman er es pouvoirs et es rnstruct1011s L::s partis mort~ vonl::icnt vivre, et n·ay?.nt pas les Cosaque~ JlDU! nécessnires pour continuer les négociations; i:s en~evelir la République, ils appt'lèrent Ci!~:1r. ont invité L1mlrnssacleur turc ù prendre part aux Ce Cés,:r, _vous le co_nnais~cz,ô .Fnrncc ! C'est !e ha_nt!itqui a f<1itcollférem:es. Il pnrait <l'ailleurs que le Czar n'actlc son p1trJU1eun empire: c est le <"Uet-nncnsqui a f..:rmé vos As- , 1 · · 1 l sembll!•·s et vos tri hunes• c'est la t;,h; .01; 1 . 1• • 0 , 1e' cl I cepte pas sans 1·eserve es proposlt10ns ce a con- .. .... . , • • , .::, ' l 1 a. J .1c,1 e cac avrcs u • _ • .• • , vu~_rnes, vos pnsons, vos c1met1è,es; c'est la violence qui a jeté les ftirenct~; t't les JOnrnaux ang-lms ne vownt. qu avec m~tl!ems,de VOSfi!~_da~JS les_ casema~es, les p,H_nous, les _cotouies- <léfürnce et i11q11ié!uclc s'onvrir oes négociations to.nb~s, les h~gnes. c est l homme des commisswns m1xt<'s, des <l , r , . , ] .'. l , · , cl:· l'· · . I' cc,n~eils de mort. des fusillades, de l'échafaud; c'est la Providence <le ~-lt .e Sl,U le:,U tut 11u,me 1,_1test C ,lJOUrne, enCayPnne, de Lambessa, des g·alère~, de l'exil et du haun;ssement; tree en cnrnpagne de l Autnclie. Le but du Cz.:ir, t~s~ la P 1:esse n~ort~, c'e st k [o~ Jl'.1blique éventrée, c'est l'it!ée au a dit un hornme <l'Etat autrichien, est seulement, ::rn1llon,c lst l:i Jlls\ice et Id 101v101ers, c'est le Deux Décembre I d d, l'A · l d 1 Et rlepui~ le Deux-Décembre, que l'a-t-il donné, ce César?· Le e . egageï ~tnc 1e e ses promesses envers es soup-,:on<liins tes foyers, la. misè:·e dans tes ateliers et tes champs. PuissanC{'S Occ1dentales. _l~'.·i.ch~ss_e 1 1:n l;a'.1t,.ch_~.zles p:1rasitcs, les__11g-011iesdu trarail en La Prnsse refuse d'armer pour seconder l'Auba.,. plus<, 1dees é,eH:es, plus de CO!lsola.1ons 1 n!us d'es11é.i.,nces · t · 1 · ' t - tt ' ' • • ne 1e, qu1 11est pas e ne sera pas a aquee p<.1r le Czar, seul cas où l'Autriche aurait droit <l'exiger le co11cours de F. Uuilhume. - Dt>s notes très aigres s'échang:ent entre Paris et Berlin; et 011 assnrë que la Prnsse vient de s'allier ù !a Russie. Le Piémont a signé le protocole dn û Avril, et est ainsi entré dans l\dliauce ofl'rnsive et défr.nsive conclne nitre la rl'urriuie, l'Angleterre et la Fran(;e. On assure que !e Piérno11t met 15,000 hommes ù la disposition tlfis Alli~s, qui lni uideront en retour ù négocier un emprunt. L'.l discussion s'est ouverte, dans le Purler.ient Piérno11t~iis, sur la suppression <les couvents. Le marquis Cavour ayaut réch:mé la liberté pour chacun <le se foire moinf', M. Mora a rép1)!ldu qu'il y consentirait, si on iu-;:itnait la liberté comme en Amérique, sans privdég·es et sans protection légc1le pour les couvents; et M. Brofrt'.rio a ajouté que les biens de !']~glise appartenaient, 11011 pas au Clerg·é, m,tis ù tous les membres de l'Eµ lisr, à tous !es fidèles, et devaient, dès lors, être admiuistrés p:.tr !'Etnt. Au milieu de l'a~itation soulevée par ce projet de loi, l(1s partisa::s de la monarchie italienne du rni <le l~iémout out voulu dépopulariser le prince Murat, ( leur adversaire en tnnt yue candidat au roya~.me cle Naples) en le représe11tant comme umi <les J és11ites, le prince Murat a protesté contre cette accusation, par u11e !ettre adressée à Broffério, u,1 des radicaux extrêmes <lu Piémont. Le.s Cortès constitu,mtes d' Espugue ont repoussé la proposition de 1\1. Pareda de donner force <le loi ù leurs votes sa11s les soumettre ù la sanction de la H.eine. Des troubles ont éclaté ù Malaga, des prisonniers politiques ont été délivrés. Espartero, dans li•s Cortès, a protesté de son dévouement à la Liberté, mais aussi <le sa résolution de faire tomber le glaive de la loi sur ceux qni refuseraient d'échapper ù son autorité: langage bien conuu des sabreurs. 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S'adresser, 20, Don Mreet, Saint-H.5lier. mémoires dont on lui confie la réd:iction. , -- --- ---- S'adre$ser an professeur, 20, Don-street., St.- 18: P!!!I,I.rs STREET, ST.-llt;LtLn, JERSEY. téricur. - On peut marcher ii l'eau sa11~nuire à la 1 &treet, St.-Héiier. solidité de la cha11ssure. -------------------- J ER:5EY. A LA RÉCIPROCITÉ. " WXHRI & Cie., 'L\ILLKCRS, Chaux-de-1-'clllls. - Maison Heinzely, primCL1r(Suisse). Excellente '1able d'Hôte, A 10 h. l h. et 5 heures, • A L'HOTEL DE L'EUltOPE, im- j DO;:s; STllEET, .No Il, 1 Tenu par ROUSSEL, Cui,inier français. Hélier (Ile de Jersey). If' lf T ,a '\T p1wcrit du 2 Décembre, faisem· Références chez MM. Wcllman, P. Aspic!, \UJ Uil. I f_le BOTTES sam couture, pourj A J lH(A '\[(' V Geo. 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