Il y avait, particulièrement en 1848, un homme porteur d'un nom fatal à la Libert6 et, malheureusement, populaire dans les masses par l'effet de cette vaine gloire ùes armes qui séduit et égare les Peuples ; on ne lui accordait pas de génie ; mais ce qu'il avait écrit et fait démontrait qu'il était doué à la fois ù'une sorte tde persévérance maniaque dans les idées et les projets et ile cette louche hypocrisie, particulière aux méchants ambitieux, qui, souvent, atteignent le succès plus tôt que le génie luimême ; et, dès cette époque, les âmes véritablement patriotiques lisaient dans l'avenir la destinée sinistre qui lui élait réservée. Evirlemment, faire entrer dans l'organisation du gouYernement de :Février ou le système cles deux Chambres ou la Préside1Jce, c'était servir l'ambi'tion avouée et menaç·mtc de Louis Bonaparte. • J)'aille1~rs, la Démocratie n'a-t-elle pas besoin d'un gou\'ernernent fort pour mener à bonne fin les réformes de 1ou1e nature qui peuvent seules la fo111ler et la_rendre i11ébrnnlablc ? Or, où se trouve la force, si ce n'est dans i'uuité ? Eufln, lorsque les autres sciences progn·ssent, se simi,lificut, tendent à l'unité, la science politique ne doitelle pas suiHe la tendance genérale, marcher dans la m0me voie ? 111 ais que dis-je? La doctrine démocratique n'est la cloctrir!e vraie que parce qu'elle est la doctrine de 1'unité, que parce que, tout en sauvegardant la liberté indivirluelle, elle 11e ve11t faire qu'une seule famille, qu'un seul Peuple, qu'une seule Humanité,, des familles, des Peuples, des hommes dispersés sur la surface <lu globe ?, . De tout ce qui précède, il ressort clone que le gouvernement républicain de 1848 ne devait se former que l'i'nne seule Chambre, d'une Convention contenant en soi le pouvoir Ugislatif et le pourni exécutif, - toutes les attribu1ions de la souvcraiHetL H. l\'lARJ,ET. Londres, 4 Décembre 1854. " l\Ion cher 11mi, " ,J ~ voue envoie la copie d'une lettre que, par le même conrrier, j'a<lresse à M. le Ministre Faider; ,Je vous prie <lel 'insfrer 1lan~ le plu~ prochain numéro de I' Jlom111e. Salut fratl)rnel, Hippolyte );[AGEN. A .1[. FAIDER, ministre de la justice clu roi Léopold. :VI onsie ur, Un magii.tra1 ùclge peut-il substituer au pouvoir iles lois ~es voloncés arbitraires, confisquer, au profit du jésnitisme, le ùien d'autrui, f't 11'opposer aux plus légitimes demandes <1ne la dédaigneuse expn-ssion de son bun. p!ai'sir? L'étrange conduite de 1\1. le procurenr général de Bavay nù,l,lige à \'Ous poser ces questions. !\on seulement, ce fonctionnaire, au mépri;; ile l'article 185 du code pénal, " dJnie de rendre lri Jttstiee qu'i1 doit nux parties, am·è., en " ovnir été requis," mais encore, si on m'a fidèlcrne-nt rapporté ~es J>'• roles, " 11n m·ertis.~ement, Oil une injonction <lo ·' ses s11périe11rs,ne l'cmpêcheruit pas de pcrséuére1· dans son " dlni." L'homme dont l'extrav;igante autlace vient d'essayer un nttc111at contre l'inviolabilité <lr la tribune, mrsure, je le crains fort, ses 1é111érités à ses forcN,, trahit les liutrtieide~ l'•pérn11ces cl'anxiliaires p11iss1u1ts, n·gal'de· comme 1111jeu la viola!ion <l'11ndroit, et 1,ecroit à l'abri d'un avertissameut ou ,t l/11(: i11jonct,'011. Si mei. 1·raltltt"S sont exagérées, si \·0tre autorité, Mon~ienr le Ministre, n'est pns illusoire, si l\1. de BavRy n't>sl point :i11-cJc,.s11~des lois, vous ramènerez sévèrement dan,1 les seul iers du deH>Îr l'u11Llieux m11gistrat <]UÏs'en écarte. Ponr êrre justifi.:e, il 1mffit à ma 1éel.unation de se pro- <lnir--. Pro~crit, ne s,whant où me ponsPerait le vent d<•'lperséc111ions qui épaq ille sur tons les chemins les hommes fidèlts au culte de l'honueur et de la Liuerté, j'avais confié a•1x soins d'u:, citoyen 1Jelge, d'un ami, plu~ieurs rnanuscrits 1rni1,,,1t de littérature et d'histoire. Le l L aoùt dernier, une mensongère délation, qui a pro- ,J,.it une déµlorablc erreur judiciaire, accusa cl't ami'' de ",//tenir das arm,,s }'rohibées." Son domicile fut t-nvahi. C,rnf'ormément aux articles 3;3,36, 37 et 87 du code d'rnstrnclion cri111inellc, on devait ne s·y liv1er que.; à taper1 • Cet Almanach, formélnt nn volnme de <lenx cents ] a ~Ps, petit texte, paraîtra dans le dernier mois de l'a rnée. Les articles dé,ià sous presse sont signés : -Victor l-1ug-o, Louis lllanc, :Félix Pyat, Charles " q11isition et ci hi saisie des pa7,fr.rs, ejj'cts et de tout ce qui "paraissait avoir servi Olt aroir été destÎ'né à commJttre le " aime ou le lélit, on en m:ai"tété le JJ1·oiluit,enfin de tuut ce " qui pouvait serâr à ia manifestation de la vérité." On fit observer à M, le procnrem du roi Hody <J11'ilsa1- ~is•ait des m1rnu<;crits absolument étran"ers au ilélit imaginaire dom 1,.,"traces étaient recberchél';. M. Hody se bita de réponc.lre qu'il lci:1 restituerai, rrligieusement après uu court l'J111me11. Ils n'ont été et 11(' po1,vaient ftre mentionnés ni pendant l'insti-uction, ni dans les i11tenogatoi:·es, ni aux débats. Q11a11dle j11g-·ment en appel f11t rendu, le dépositaire sollicita nne l'l'stirntion que .\1. de Il 1vay ref11,a nettem('nt: "Ces papiers, dit-il, NE so:sT POINT DE ~ATUJtE â être " ,·endus. " Vous qualifierez cet abus de pum:oit·, l\Ionsienr le ministre, lorsque \OU~ connaîtrez "la uature do ces 1mpier1J, " Pent-êtrt', rléci<lcrez-vous <]u'il tomb.:- sous l'application <le l'art. ~79, 011, .\ll moins, de l'art. 468 d11 corlt- pénul. Un parril acte 1,';. t-il p,,s, en rffrt, tons les ca,aete1es d'une soustraction ou ceux <l'un détli'>1rnem1•nt '? Les troi~ ce11t~ pagl!~ que M. rlc Bav..iy soustrnit 011 déto11r>w ;\ mou r•réjud1ce, ~ont le frnit de palieutn; recherches da11s pl11i-ic11rsclt'·pôts scientifiques: elles se composent de note~ histo1iq1H·iSlabo1ie11sement empruntées aux actes des conciJ.,s, !IUX Capitulaires et aux Bécrétale~ de.~empereur,; et clcs pape~, aux annales des convtnls, de l'EIJ)i-,e el des tribunaux;,\ de nombreux his_toriens et hagiog~aphes, aux enr111êtes 01donnécs J>ar les princes et les parlements. Ces docnments Qfficiels doi\·ent servir de bahe ;\ la deuxième partie _d'un ouvrage in1itulé .11Iystères des couvents et des presbytercs. Leur nature montre mon but clairt'n)ent; le voici : Le Jérnitiome, vous ne l'ignorez pas, 1\lonsieur le miniitre, démasque toutes ses uatteries 1cdressée11. Les fi ères prêcheurs ressuscitent, avec une audace accrue, le11n_1issionsdu bon vieux temps; au chœur sinistre des congréga t1uus renaissante~, Je11 dis ri pies d' 1gnace <lonnen t le ton; ces pères de la ruse et tin mal péu·is~cnt publiquement l'e11fance et l'énervent i-ous Jeurs corrosives doctrines; la coguée cléric11le s'attaque, de nouveau, à l'arbre de Ill science ; le confessionnal, aliment du vice, va renouveler impunément les horreurs de SAINT-M INGRAT, protégé par la cabale dévot!:'. Toutes les cav1•rnt·s se repeuplent de moines impurs; les 1êtes tondue~~ le$ capurhons arrundü,, Jung,, poi11tus ou su un lés, reparai:-sent d,1ns les ca111pHgues et dans les villes; le Dominicain à. l'œil fauve rPprencl ses tP11a1llese1 Haire le libre peni;eur, proie convoitée; le Carme, aux larges épaules, lance à nos femmrs et à nus filles dei. regards lascif,; ; le F, aoci,cain, à la démarche compassée, échange ses rosairt's et ses agnus contre le vin et le blé du paysan appauvri; le C..:apuciu lui-même, le Capucin, à la p_uanle oueur, au dos flt'xible, gorge de \'iandes et de prov1Mons ses douze poches profondes. Bl.i ! bien, je reux arracher à ces vicieux parao;ites le masque tlout ils recouvrent leur face immondt•. Je Vt'ux ou~rir, à deux u:,ttant~, les portes des monast~res où_ l'~ii;1veté :1'engraisse aux dépc11s ctu trn,·ail, où le Vice, ennch1 par le vol, s'ulluntloune ;\ toutes les déuaucht's de la luxure et du vin. Je péuètr•~, aussi, dansl~s évêché, et les pre~Lytères où le Cr11iH:, parfo>i8, s·aurite sous lts sout,rncs ,·wlettc:. et noires. Je veux qne la vé~ité fosse retentir, autour c.leces vuliiptueux putréfiés, sa , oix inflexible. Je flétris les doeu ine~ an ri-sociales des recrn leurs pn11tificuux i je dévoile, une à une, les mo1t1~riei;, les impostures, les orgies, les férocités ~acenlotales <'l mon<1cales; iL trn~er» les âg~s qu'ils ont ..111poisonné.; et e:>nsangl1111tés,jt• po11r~11is les c110111est les µ1êl1t::l de cdtt> religion qui, par le mu~èle1mc1t. des e~p,its et la drgrad1Hio11 des iîmcs prélude à l'assu~~mat des t.:orps, - et dont l'i1,fâ111e roi des dnwond d. . b ua es 1sau n,·ec raison: "Elle est la plu~ haute', la plu, noble, ET SURTOUT LA J'l.l1S PROPRE A FAIR~: REGNER LES Ho1s, ABSOLUilll<:~1', son LES Pl,.UPLES." Je rep1é~cnte 1., chPf <le 1·l'lte religion romaine rini, jadi,, décla1 ait néCt'SSaire et agréable à son Dieu f,m,nche l't'Xterminatio,i des i1ifidèles, - je le représente héni~l-oant aujourd'hui de ses deux mains, ce,; rnêmes "emwmis de la Croix," ces Musulmans contl'e ]e~qut-ls on souleva l'Üec:dent to11l entier; Je ~ignale des princes chrétien~, défendant le Croissant éontre l.1 Croix; et, ce rapprochement sig 11fic,Hif, ces contradictiom1 catholiques m'autorisent ù. <lirti hautement: - Les hommes comprendront-ils que ]ce religions '!ont des instruments dont on se sert pom les opprirnN? De.~ 11,illiuus de citoyens cesseront-il:1 de se couruer son:. le joug Ribeyrolles, V. Hugo fils, A. Vacquerie, Colonel Pianciani, Colouel 'rt~leki, A. Rug·e, Cabaigne, Faure, .Bianchi, Berjeau, Duverdier,Karcher, etc. Les libraires et les citoyens qui s'adresseront, d'une poignéf' rlc charlatan, qui, an 11,1m d'un d(·spote c~- lesle, le~ 111u>'èlt>11t et le-; déci meut? En vopnt lrs rois et les prêtrrs se j,,ner cl('s n,Jiœion,; et dts Die,,x, tous le'! 1wuples ile la 1erre, seconant ;\ la fois les chaiues du cle•- pullsn,e clrs prêtre~ et dn despotisme des rois, recounnîtront-ils la vérité cle C('t :werti;.sement qu'un philosopht! leur adrt-~sait, il y a µlus d'un de111i-s1rde: "Peupleo dnpfs "et credul ...s, la re:igion de \·os père,; t'~t de l'inven1io11 <lei! "n·prhc111ants du ciel, qui, ct'acrord a\·cc les tyrans cic hL "t,•rrf', disposent de vous comme lf's· fermier.~ d'un llé1ai:. "'Pc11ples, il t-SI 1111e !>CUier.-ligion, la ~eule ,·éritauie: c·c,t "le code de la N,1t111equi pre»crit à tous d'ê11e juste, hu- " t11ai11et bi(•11foi~ant." En li11, fa1 l'eRJJOird~ démon1r('r <]Ile, V"'.·tu11tet 1onjonr,, les pe1,aillun-; et les homnlC's noirs 1ehlchèri.:•1t le.; licus su. cia11x au profit dl' leur concupise11re uu de leur domination; que, p1uto•>I et to11jo11r,;,il" alnrmèrent, p.11·lt'S erime, FRns nomb:-t> iss11:1de lclll· orgt1<'!l san~ fre•n et rie leur l11xurn sani; pnde11r, ce, )'aroles si vraies de Thomas I-L-1ynal: "Il "n'y a auc.:110crim~ que l'int<·nention de Die,u ne t.:onsacre, ",111t·une \ertu 'lu'elle 11".1,·ilisse. La notion d'un être al,. "solu e!>t,entre 1,·s 11111i111 cles pd~t1e.,, une dl'strnction de "t11u•e morall'." Teh, ,,ont M. le mi11istre, !e pl.ln et b but d'un livre qui serait clé]<\publié, si 1\1. de Barny n'abusait µas de i,e~ fonctio1:s pour détenir illégalenHrnt le bien t!'a11tri1i. Cette i111mor,,le coufi,cation cn'empêt-he de tenir des engagement,, pri~, m'obl ge ,\ reco:nme1,(·t-1 un travail de plu~ieurs mois, et me cause un domrr.age dnnt j'outienùrai la réparn1ion en t<:mps opportun. M. de B,1rny. je ne l'ignore pas, est l'un d"s pins fongueux <:h-tlll!JÎ011sde lil clérucnuie Leige, l'un <les plus anh·ntli promoteurs de lu violl'nte croi~adc q•1e les prince~ d lrs 1,rêlles organis<·nt st11piùeme11t c,,utre l'idée; il se glorifie, ~ans rlo111e,a1q,r!'4 de,; Jésuite~ et des Capucin~, de lu suustractiu11 nu <lu détciunzement tJiewx: dont jl· l'accuse - et les lions père~, avec l1:11rs Ile" 1hies distinctions rassurent sa C\!11sc1enccen in"oq11a1!t l',111tori1é fl'J~seol.mr ~11r "la légitime pos,sessitm des &;eus mul acquis d qu·u,, n'est pa, '· obligé à 1·estituer." Mais vous, Nl. le Ministre, voue; le cléporiitaire d'une Constitution c1ui n'a point la tlexibilité de cdle r4,1'E,cob11r rédigea,- ne do11nert-Z·\'Ot1:; pas ;\ voire M1u11r,io1111é le co11seit d'une rei-;titlltion légitime? La mu1·ale clt'S Jésuites prévaudra-t-elle co111re la Jthtiee dout vous êtes le ehef, contre l!t loi dont vous ~tes le g<1nlie11? La11;sez-moi vous rappeler, en ter111111antcette lettre, une ~ra,·e seuteuce d'un Jé~islatt'\ll' tl'a11trf'fois : ·• L'i11Justice "e~t encore plus !Ji,le11se quand ell~ a pour complices lts " 111agistrats chargés <le la punir.'' Veuille:.:, M. le .l\lini.tre, agréer mes salulalion5. HIPPOLYTE l\JAGEN. JI:RliEY, Dll'RJMERIE UNl\'ERSELLt~, 19, DORSET STRECir, EN ·vENTE A L'IlJJPRLMERI.E UNIVERSELLE, 19, DORSET STREET, SAINT-HÉLIER (JERSEY) Ou par commission à .LONDRES, chez Stanislas TcuoRZEWSKI, 10, Claremont Place, .J u<l<lStreet, New Roa<l. • VICTORHUGO J,e discours pro- • noncé le 27 septembre 1854, sur la tombe du citoyen Félix Bony, vieut d'être imprimé sur papier :Îln et en petit format. On peut s· en procurer à Jersey à ! 'Imprimerie Universelle, Hl, Dorset Street, et i1Louclres. L KossurrH Discours • • prononce n Loudres, à l'occasion de l'auniversaire de la Révolution polonaise.-.Brochnre de 20 pages, en français, 2d. (4 sous). Discours de VIC1 1OR HUGO prononcé à Jersey, au Banquet du 29 Novembre 1854 (24c anniversaire de la Révolution polonaise). Prix : Un exemplaire, Id. (2 sous); cent, 4s. (5 l'r.) Discours (sn:r le même sujet) prononcé à Jersey par L. PIANCIA N f, proscrit italien.-l<l. 1855. dans le mois, à la Librairie Universelle de Jm·sry, 19, Dorset ôtreet, Saint-Hélier, recevront, aussitôt l'Almanach paru, scion leurs demaudes. PRIX: 1 SHILLING (1 fr. 2:3. c.) A. ,ir ,.w- ~... IGU'l"' T_,'1 PllOSC,R[T DU 2 01'.:CEMIIRF.,la le t~i1>l~avs.ntage d'unir l'élég:mce, la légcrté e.. en plâtre, Cil cire, en _n,nMic C! en gél11tine ~ur .lm... ~ .1.il ~.. 12.J !9li."O~('!!l~eun• ,;~, ~Olf lle ,a snl1111tc. 1 nature mort<' ou viva1111•. 1'ailfto11rti'Jfobits.-29, Belmont Road, ::,1.-llét1er. 1 t _Les semelle~ so~t. ~xé_cs_a~'.·e_d~1laito~1_et, ne Il !nonic aussi lrs ornements, Je~ staturs t'L ------ ------------1Jerscy. );:1s~cntilll"une aspente 111al 111ter1eur ni a I ex- fournit des ~nrcuves à un prix rnodéré.---20 Dou- BIANCHI P roscrit politiiiuc L!~ll lHilùDE"'K' - 11éïit•,_1r:- ~n peut marcher à l'eau sa11s nuire à Ja I street, ::it.-JÙlicr. ' A \Uh i\Ufà i:..o ,, 1 soi1d1tcde la ch1•1~sure. , ------------------ • 1 frunçais, rédacteur _______ ~---------- • 1 - , en chef pendant Pnosc1uT l'UI.ITIQt< E l'OLO:S., ts, j JERSEY. liuit ans t:n jLou,r11a(ll~1uotid)itmllc Jlessager ~,~,]\·ord, 1 A LA RÉCIPROCITÉ. Excellente Table d'IIo"te paraissant à ide •rance , < om1c à dom1c1e des Donne iltlomicilc 1lt'sll'Ç:)11~ cl!' lat1"lli ✓fllt'1111wd1· • , lcço11~de ian~tl? f,_,111ç.1isc_, ,d'arithmétique, d'his- et J,ntine,· il démontre a:t~si la r;_,, 1m~aslhut•. 1 1 " . A 10 h. 1 h. et 5 heures, ~ ' ' W \ 1-1rr· & c· TAILLEüRS, toirf>, de géo~raph1e, tle litterature, etc. .M. L111I.Konlceki clésircrait !nJll\'('I"clc1'!'1llnloi! 1 • I l r 1e., A L'HO'rEL DE L'E.UROPE ll se ch~rge ég-alr.mcnt._de toutes correspon- comme professeur dans une JH'nsio 11.-ül, .;-; ewi'n:111, Cliaux-cle-'l<'cnck - Maison Heinzcly, imDON STREET, N O l l, · ' th.nces, éantmes c0t_nmerc1alcs et a'.1tres, et des Street, Oxford Strect.-Lo11dre~. 1 • (S · . ) mémoires dont on !tu confie la rédaction. --- - - ----- -- - , pumeur uisse • Tenn par ROUSSEL, Cui~inier français. S'nùresscr au professeur, 20, Don-street, St.- L,, coLo~rnERI.: STRJ,;;,:T, f.T.-IIJ::Ln,n, Jt:Rsr:r. 1 Dîners et déjeùners particuliers à toute heure lH-lier (lie de Jersey). Glf1 ~ "l.T proscrit du 2 Décembre, f,LÎ5cur -------------- -Jolis appartements et vins de toutes qualités ;_ R~(érenccs chez MM. Wellman, P. Asplet, U .fil .Ï ,de BOTTES s~ns couture, pour! A1 I) J t' 0 \_I (' I,' 111011 leur en plâtre, se charge <lesprix modér~s. ' Geo. Vickery. hOlllULCS et pour dames. - Ce ~enre ch• chall%lll'C J n 1) rj, rll' 1011tc· ('S}lÎ!CC dt moula Je Salons d~ réuniofl. et r,onr repas de- «orps
RkJQdWJsaXNoZXIy MTExMDY2NQ==