Homme - anno I - n.23 - 3 maggio 1854

<l'unprompt succès pour s'être préparées à nne lutte lon~·ue et très entremêlée de ·cvcrs ...... Le "'i:!1r.ra1Bou~quct, à la tête de réiimen, fr:mçais et écossais, ~st pa;ti pour Andrinople: les armées alliées ne seroi:it donc qu'une armée de réserl'e, eu arri,'ri• des Balkans? Pourquoi ne vont-elles pas plutôt à \"arna, fo:·mer l'aile droite <l'Omer Pacha, rn at•m1t dr~ Balkans? On prépare deux palais à Consbntinoplc pour le clncde Cambridge et le prince Napl>1éon (tous deux en m,•r): ·1s ne partiront dc:,n-:pas imn~rdiatemeut pour le champ de ba•aili.•_? Le princ.:! N' apolé:m c~t passl.!à ::\laite aYec le gén6ral Prim et Je colonel Branicki. L•·s Turcs ont remporté deux succ's, l'un à Kalafat, où 10 :\ 12 mille Rus~es ont été repoussés avec une perte tic .;oo hommes, l'autre clansla Dobrndja. vers Kara-Su, Les Russes se retirent cle de,·ant Kalafat. évacu~nt la petitû Valachie, et renoncent, parait-il, à l'e1ll'ahissement de la Servie; ils se concentrent vers Silistrie dont on a wnoncé le bombardement en mrme temps que celui d'Odessa plr ies flottes alliées , dcnx nonvclles 110!1confirmées, non plus que celle d'une explosion qui aun:it détruit une partie de la \'ille de Kronstadt, dans la Baltique. La Cité murmmait, ces jours ci, que !a flotte française dans la mer Noire r:rnit reçu ordre de ne pas combattre et de rester neutre, en même temp~ que la flotte anglaise recevait ordre d'attaquer. Le fait s'est éclairci : un retard clans la marche des dépêches a fait que la flotte française n'a pas rer,• avis de ia déclaration de guerre en même temps que !'~mira] Dundas et est restée ~ans !nstrnctions pendant quelques Jours. - Le Fury, vapeur anglais, a ~aisi, à l'entr<:e c'n port de Sébastopol, un petit bâtiment rnsse dont il a cmmcn!! l'équipage; mis en chasse par deux friiITatcs, deuxcorvettes et un steamer, le Fu1·y a dû abandonner l':t prise, non sars éch:ingcr quelques coups de canon avec les Russes. La flotte de h Baltique et les croiseurs de la :Manche font pri,e snr prise; les prisonniers sont relâchés sons p~omcsse d_ene pas servir contre la France et l' .\nglcterre. L'a1~ural :Napier a è.ivi~éla flottl' en trois escadres, et attend, pour agir, sa r!!serve et la flotte française qui ont, hier, passé en vue de l'embouchure de la Tamise. La Prusse et l'Autriche se sont garanties toutes leurs posse.;- sions en cas de gu. •Tc,et des conventions milit1 ires règlent la position des armées; rien de préci~, pourtal'I, ,·.• :i de certain pour leur politique future, bien que l'Autriche ,•t-· ,. de plu5 en plus disposée à lutter contre la Russie dont les conquG es sur le BasDanube lui enleven.ient tout espoir d'inclépeadance. L'insurrection greC'JUCne fait pas de progrès, mais clic n'est pas domptée, malgré les renforts envoyés à. Fuacl.-Pac)ia. L~s bandeshcllèn('S et les irrécruliers Turcs. Albanais et Egyptiens fivalisentde déprédation!- et cle cruauté. L' ambas~adeur ang-1~:"aurait menacé le roi Othon de le faire déposer et d'occuper Athènes, si on ne mettait pas un terme aux enrôlement~ volontaires pour 1'ins1mection; des navires anglais et fr:I' çai~ croisent dans le golfe de Corinthe pour intercepter toutPs communication~ entre la Morée et les provinces insurgées. Le aouvernement piémontais a fait un emprunt, pn voie de souscription, comme le gouvernement français, et a réussi comme lui. Le gouvernement angluis a 6galement réu$Si à faire entrer dans la circulation six millions de livres (l:'>O million~) en bons d'Echiquier. L'argent, jusqu'ici, ne manque pas aux gouvernements. L'ambas~adeur prussien, à Londres, M. de Bunsen, est remplacé par :'.\f. de Bernst~rlî, ~n ce •i:ioment à Naples; c'est un triomphe complet du p~rtt russe ; aussi _lapresse attaque-t:e)le la Cour de Berlin avec v10lence sui· sa faiblesse, son hypocns1e, sa lenteur à se décider. Les Etats-Unis mettent en aYant de telles exigences, au sujet de Cuha, que l'Espagne, très bien disposée d'abor~, recule devant les conces~iotls qu'on lui i:npose et cherche au moms à gagner du temps. Le Journal dn DébatG -qMantum 111ut1l.tusab ille,-engageait, ces jours ci, l'Espa~ne à proclamer l'abolition de l'esclavage, mesur.: q~i ,a si. bien réussi da~s_les Antilles(r~11,;aises et anglaises, et qm otera1t aux Etats- U111stoute fantaisie de conquérir Cuba ... M. de Montalem_bert rerrettan~ la t~·i?une Ub,re des assemblées souveraines, le~ Debats pronant I abolitton de 1 esclavage!... Salut fraternel. Ph. FAURE. On nous adresse de Londres la lettre qui suit : }Ion cher Ribeyrolles, Quelqu'étrange qu'il puisse paraître d'appeler l'invasion des Barbares sur le monde civilisé, et non pas seulement une invasion passagère comme celle de 1812-15, mais une invasion complète et définitive comme celle sous laquelle croula le monde Romain, il faut une telle abnégation ou une telle indifférence pour oser contempler sans défaillance un pareil avenir que, cle toute manière, il y a lieu de s'étonner et de chercher la raison d'ua pareil vœu. Mais nos amis· sont sont loin d'être des indifférents. Quelquejugement que nous ayons à porter sur leurs écrits, la part soufferte par eux <lans la persécution commune ne permet à personne de mettre en doute leur amour pour la République démocratique et sociale, et leur passion (le mot dévouement les offusque) révolutionnaire. Nous n'avons donc pas à les condamner, puisque, si triste que soit leur erreur, ils sont courageux et de boune foi ; mais à les convaincre, ce qui est peut-être plus diflicile, car ils me i,araissent bien épris de leur Cosaqui.,me, d'autant plus épris que leur passion est aussi neu,e, pour des démocrates, que peu con:,olante. A quoi tient rependant cette idée aus1>iétr:rngc pour la Démocratie r1ne peu originale pare le-mellle, l'As.\tmblée Nationale et ses pareils nous ayant dès longtemps habitués à l'appel aux h usses? uniquement, selon moi, à un faux jugement l1istorique en vertu duquel on a accepté l'invasion du monde Romain par les Barbares comme une chosebonne, heureuse, providentielle, nécessaire au triomphe du christianisme, et que nous devons bénir, comme nous bénirions les peuples qui feraient aujourd'hui triompher dans le monde le Socialisme et la République universelle. Cejugement n'est pas nouveau, non plus que l'analogie établie entre la venue du Socialisme dans le monde moderne, et la venue du Christianisme dans le monde romain. Mais, tandis que l'analogie est vraie, le jugement est faux. Oui : comme dans le Bas-Empire, les Césari et le Christianisme ~e di~puta.ient le monde, les C~sars et le L•IIOMTulE. î 1 Socialisme se disnuten• le n'onde .:rniourrl'hui. Ma'is il n'est pas vrai qu~ le triomp11e des Barll'ues_ ait été le triomphe du Christi, nisme. Il n·a été que le mo111phede la féodalité qui, cen~s, u'était ni dans l'EvangilP, ni d-;i s les vrérl•r,,tions Pgalita1res, ni clans l'org:misation démocratique tle l'égli-,e primitive. J)e ce que les prC-1,ts chrétiens firent avec les rc is Barbares une alliaEce impie et vén::le pour partager la domination a\·ec eux, conclure que le C'hristianiEme a triomphr an,c et par l'invasion, c'est se 1nyer de mots, ou prendre pour la rén lisat:on des promesses du Christ cc 10116 ét sanglant a,·orteme!1t qui, ,111 lieu d' 1rn monde de liberté et d'égalité, a pro l11it b féodalité à deux tètes (Pape et Empereur), l" monstre bucéphale du moyenà!.;e, Ceu:x-là donc <lépensent mal leur bravourE=qui s'éc~ient : viennent les Cosaques ! p0risse le monde civilisé ! et triomphent avec les peui,les nouveaux les doctrines nouvelles ! Dieu garde le 8ocialisme rl'un pareil triomphe, et nos amis de faux jug ·ments sur le pa$sé et de fausses espérances pour l' aYcnit: ! Rétablissons les faits s'il est possible. La Gau1ea été conquise rleux fois : la première fois par les Romains ; la deuxième fo"s par les Barbares. Ces denx conquêtes ont été aussi complètes qnr possible. Romaim: et Francs se sont assimilé la Gaule à ce point qu'il n'est pos~ible aujourd'hui que de reconnaître l'esprit <les différents peuples, leurs traditions, leurs tendances, mais non les peuples eux-mêm<'s. La civilisation propre aux Gaulois. égorgée par les Romains et enterrée clans ses fo!'êts sacrées vit bientôt le poids <l"une seconde conquête tomber sur son cadavre et l'enfoncer plus avant clans le sol paternel. La civilis:1üo11romaine, un temps triomphante, ne profita de sa victoire sur le Druidisme que pour laisser dans les Gaules <les germes qui devaient éclore plus tar<l et fut bientôt écrasée aussi par la Barbarie. Puis l'ordre r0gna rle non- ,eau, et q11elordre ! ... Les historiens aristocrates appellent cela les l+ siècles de la glorieuse Monarchie française!. .. Kous savons de quelle sueur, de quel sang, de quelles la.rrnes est rétrie cette gloire ... Mai:, je n'ai pas l'intention rle refaire l'histoire ici. Passons. Les historiens modernes qui, dans l'étude <les développements politiques et sociaux du mon(lc, o~t tenu compte <le l'esprit même qui c:.uactéris::iit les cl1fférents ·peuples dont le mélange compose aujourd'hui la nation française, ont appelé le mouvement émancipateur des derniers siècles le mouvement Gallo-Romain. Cela est vrai et faux en même temps. Vrai, en ce sens que ces deux mouvements ont été souvent confondus; faux, en ce qu'ils ont toujours été divers !l'origine et de tendance, comme l'esprit même des difiërents. peuples, et qu'ils se sont séparés en fait aussitôt que le triomphe cl<; l'un d'eux a brisé l'alliance noui>e par l'oppression commune. Le mouvement romain, caractérisé par l'application aux libertés politique et municipale, le monvement bourgeois par excellence, a fait sa ré\-olution et a abandonné le Gaulois après la victoire gagnée en commun. Le mouvement gaulois, caractérisé par l'aspiration à l'égalité politique et sociale, le mouvement unitaire, religieux, politique et économique tout à la fois, le mouvement dirigé contre les Institutes <'t les Commentaires de César, aussi bien que contre les châteaux et les coffresforts, le mouvement cher aux femmes et aux jeunes gens, aux poètes et aux travailleurs, le mouvement cher au peuple enfin, social et national par excellence, ce mouvement persiste et poursuit à travers victoires et défaites la conquête de l'égalité, but suprême, fin dernière du développcme:nt individuel et social. Maintes fois le champ a été labouré et ensemencé; mais toujours des orages ont détruit la moisson avant sa maturité. Amis téméraires qui appelez l'invasion, ne comprenez-vous donc pas que c'est appeler lïnondation sur la vallée fertile prête à donner ses fruits, sous prétexte que les eaux laisseront un limon d'où sortiront des terres nouvelles. Hélas! assez de moissons ont péri déjà., et ce n'est pas le limon qui manque. Et, d'ailleurs, que savez-vous, que pouvez-vous savoir d'nne invasion ? Qui dit invasion, dit armées nombreuses, chefs guerriers, féodalité militaire s'imposant par la conquète. Rst-ce encore ce que vous voulez et n'en avezvous pas assez des Césars? Si, encore, comme Hertzen, vous mettiez, sans l'appeler de vos vœux, l'invasion russe au uombre des choses possibles que l'avenir peut réaliser, et criiez aux bourgeois : vous voulez du Cz;ir en haine ùu socialisme ; prenez garde d'avoir le Czar et le socialisme; on vous comprendrait. 1\-Iai;;appeler le Fusse pour vous, cela ne se comprendLpas; parce que, même en admettant ( ce que je fais volontiers) que dans son organisation communale, que dans ses tendances intimes, que dans l'esprit de sa race, le Russe offre de nombreuses analogies avec les tendances socialiste" gauloises ; en admettant même (ce qui est aller bien loin) que le peuple russe soit prêt à une rénovation ~ocialc, est-ce que c'est la rénovation sociale que l'invasion nous amènerait? N 011 ! elle ne nous amènerait qu'un peuple de soldats, complice et mercenaire de l'absolutisme. Arts, sciences, industries, tout disparaîtrait foulé aux pieds des chevaux cosaques, et disparaitrait pour longtemps. L'empire retarde l'avènement du soGialisme de quelques années; l'inusion le retarderait cle plusieurs siècles. Et non seulement la révolution sociale ne se ferait pas en France, mais cette di version guerrière empêcherait les germes du socialisme russe de se développer, et b. Révolu:ion ne: se forait nu1l.~ p'.lrt d1:1s l'anc>•n monde. Pour moi, je crois que nous pouvons souhaiter au socialisme un dc~tin plus heun~ux que celui du chri:;tianisme trahi et faussé par ses propres ministres et p«r leurs adeptes, les Barbares. i\Ialgré le "Re,1rle.--:, à Ct:.,;arcc qui appartient à è r.~ar", et lr "Jlfrm ro.1Jau111e J11est pa~ c 1core de ce n,u!ldc ", je crois que le christia11isrne contenait de g,. 1 des promesses de liberté et d'é..;alite. Qu'est-il arlYenu <le ces promesses? qne, sans réalis:üion sociale, elles sont restée:, c-0mmeune prophftie pour la R/·volution modern.•; et cela, grace à qni? gr,ice l!UX Burh,,rcs, en grr.nde partie. Y ouL z-vons <lo11cqu'il <'n soit ai11si des pro:ncssc:s du sociafüme? Amis, :1.mis, n'appelons })as sur l0 s aut,es et sur nousmêmes les sombres vagues <le l'inconnu. Ne promettons pas plus au peuple 1a RévolutiJn par les Cosaques, que la Révolution par nous-mêmes. Promettons-lui la RéYolution par lui-m~me, qnaucl il voll(lra se connaître et se faire, selon son droit, sa propre destinée. La France expie ses fautes en ce moment; n'appeio11s pas sur le 8isyphe moderne un rocher plus lourd. Cherchons plntôt, nous qui n'avons été les complices <les meurtre.s ni à l'intérieur, ni à l'extérieur, à rach ter notre patrie <lu dernier sup1:lice, et à la rendre à elle-même et à sa mission civilisatrice. Alfred ÎALANDIER. VARIETES. LESMÈ1'4!1IRES D JEANRAISIN. -SuitcMILORD, :'.\!apremière impression de Yoyai;e, qu:md je l'ai rencontrée, portait tricorne, grand sabre au côté pend,mt et buffleteries jaunes; elle av:.iit le col sanglé, le buste raide, le nez en truffe, et la mou:-tache assez tranquille quoique rousse ; elle s'appelait monsieur le gendarme. Connaissez-vous cette espèce-là, milord? C'est une famille de bipèdes moitié militaires, moitié civils, assez répandue dans nos départements, et qui fait là-bas, dans nos Pyrénées, le service de surveill~nce, au milieu des neiges. Le garde-forêt, le douanier et le gendarme, voilà nos triumvirs; le contrebandier, berger <lesgrands plateaux et le déserteur, voilà nos Spartacus, etje vous jure que lorsqu'il y a rencontre au niilicu <les pics sous les nuits étoilées, la lutte est vive ; car nos très redouté:,, alguazils n'ont pas le pien moins s\Îr que la mule espagnole: et le gars <le110s montRgnes. Aussi, sont-ils maigres comme des chiens sauvages, 1es pauvres gendarmes <les Pyrénées ; ils ont le poil rurle, l'œil inquiet du loup, et la main aussi prompte à la carabine qu'au verre, tandis que le monsieur <le Bordeaux m'apparut sous la forme fleurie d'un bon chanoine du temps de la dime; ventre obèse, menton rebondi, lène rubiconde, il avait dan:, toutes ses allures la gravit~ replète d'un Bacchus à l'engrais, et la majesté d'un cacique ! - Vos passeports, messieurs ? nous' dit Je centaure en ounant la portière ...... Et chaque voyageur ùe chercher ausssitôt son papyrus à grand timbre, portant -pe·mis rle route et signalement - Hélas, hélas ! je n'avais, moi, d'autre passeport que vos guinées et ma fantaisie ; je n'avais point de signalement ; qu'allait dire monsieur le gendarme ? Je me blottis, comme un écureuil, au fond du coche, et m'abritai de mon mieux derrière un bossu qui faisait talus. - Je n'ai point de passeport, dit mon voisin, l'homme à la bosse. Est-ce qu'on ne pourra plus faire six lieues en dehors de ses domaines sans que l'inquisition vous traque ? Je suis bourgeois de la Réole et citoyen du département. - Eh bien, monsieur le bourgeois ùe la Réole, reprit le gendarme, que le mot inquisition avait exaspéré, votre passeport 011 votre bosse ; il me faut l'un ou l'autre ; j'ai des ordres. Ainsi, plus de sottes paroles : descendez. - Je ne descendrai pas, honnête gendarme. Le voilà, votre passeport. Et mon voisin exhiba, quoique de mauvaise grâce, sa feuille de garantie, toute tatouée de signatures. - C'est bien cela, clit gravement l'autorité: 56 ans, visage long, tête chauve, signe particulier : Bossu. Foi de gendarme, ric11n'y manque ! - Insolent ! murmura la boss-e. - Un moment encore, dit l'agent. Qui sait ? Il pourrait v avoir ici des cartouches. Les ennemis d& l'ordre soci,;l sont si pervers ! Et, passant la main derrière le voyageur, le scrupuleux policier s'assura que la gibbosité du susdit n'était point une cartouchière déguisée. - Vous êtes en règle, monsieur le bourgeois, et je vous en fais mon compliment ; votre bosse est très sérieuse! Mais j'ai diî vérifier, ajouta-t-il en fermant la portière : Les ennemis de l'ordre social sont si pertJers ! Et le facétieux s'éloigna, savourant sa vengeance. Exaspéré par l'attouchement politique du fonctionnaire, notre voisin faisait rage : il se tordait à la portière i il écumait, il appelait à son secours toutes les justices du pays. Mais le coche s'était ébran.lé; le postillon avait lancJ;

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