i~rrible dts dràpealÎx, e' est le suaire ùans lequel les r.ois oilt essayé d'ensevelir la liberté! Citoyens, du fond de cette adversité où nous sommes encore, envoyons une acclamation à l'avenit, Saluons, au-delà de toutes ces convulsions et de toutes ces guerres, saluons l'aube bénie des Etats- Unis d'Europe! oh I ce sera là une réalisation splendide! plus de frontières, plus de douanes, plus de guerres, plus d'années, plus de }Jrolétariat, plus d'ignorance, plus <lemisère; toutes les exploitations coupables suppl'imées, toutes les usurpations abolies ; la richesse décuplée; le problème du bien-êtr11 résolu par la science ; le travail, droit et devoir; la concorde entre les peuples, l'amour entre les hommes; la pénalité résorbée par l'éducation; le glaive brisé comme le sabre; tous les droits . proclamés et mis hors d'atteinte : le droit de· l'homme à la souveraineté, le droit de la femme à l'égalité, Je droit de l'enfant à la lumière ; la pensée, moteur unique, la. matière, esclave unique; le gouvernement ré~ultant de la superposition des lois <le la société aux lois de la nature, c'est-à-dire pas d'autre gouvernement qne le droit de l'homme; voilà oe que sera l'Europe demaiu peut ..être, citoyens, et ce tableau qui vous fait tressaillir de joie n'est qu'une ébauche tronquée et rapide. 0 proscrits, bénissons nos pères clans leurs tombes, bénissons ces dates glorieuses qui rayonnent sur ces murailles, bénissons h sah1.temarche des idées. Le pasGé appartient aux princes; il s'appelle Barbarie ; tlavenir ap-partient aux peuples ; il s'appelle Humanité! Vive la République universelle!_ Ceci est toujours la gtande langue que PEurope connaît et qui est aujourd'hui une des forces du droit, une des c61ï-· solations de l'exil ! • ~ • Un dernier co'mpag110;1-proscrit,le ·citoyen Bi~~chi se_ . lève et clot la séance par les paroles qûi suivent ~ ces pa~ • roles portent l'éternel et religieux souci dé iios c·unscîences à tous, celui du pain et de l'égalité qui sont enco"re··deu~ myt11esda_nsnotre vieux monde inquiet et so~ffraut. Oni, citoyens,· 1a République sera universe\le :_à la condition d'être démocratique et sQciale. Il est temp~ e11finde reconnaître que le bonheur étant le bnt des aspirations de ch:'.lcuù,c'est en foncla)lt le bonheur de tous que les révolutions sero~t durables. . _Il tant clone trouver 1111 criterimn assez vrai, assez large, pour en faire la base de la grande alliance des peuples. • Ce criteriuut, je l'appelle, moi, !'Emancipation du travail et du travailleur. 1\op longtemps on est venu parler, au nom de je .11esais quelle ré';_iila~iond'a_bnégation cons.tante, de sacrifice pe.rpétuel. On a preche l'ahstmence le ventre plein, on a parlé du ciel pour éloigner _de la_terre les regards souffrants; au nom d'un Dieu qni ne saurait avoir de nom s'il ne s'appelait pas Justice, on a créé deu·x • poitions humaines: l'une qui fait·tout et meurt de faim· l'autre qui se gorge et ne fait rien. ' Voilà. ~e qni d?it cesser. Il faut que sous la RéP,ubliquc -tous, en· trava1llant, vivent non seulement de la vie de l'estomac 'mais aussi de b vie <lu cœur et dn cerveau. . ' Si ltt travail doit être honoré, glorifié, et personne ne nie catte vérité, n'est.-il pas juste que le travailleur, le productem· tire de son labeur de qnoi vivre lui même et faire vivre sa famille? Si la paresse est un vice, n'est-il pas juste que· le paresseux ne trouve pas, <larn.un capital venu on, ne sait comment, le moyen de contenter perpétuellement ce triste penchant? Yoyez : C'est toujours ce qu'on appelle le Peuplè qui a pris les armes et est mort sur les champs de bataille, aussi bien sur ceux rle l'extérieur qne sur ceux de l'intérieur. Partout le prolétaire a laissé Ja trace de son sang, et jamais jusqu'ici il ll'a profité suffisamment <lesrévolutions qu'il avait accomplies. Dei; milliers de travailleurs sont tombés dans les rues, clans les. c:impagnes, sous les halles, sous les boulets; ils sont tombés, camme l'a écrit Béranger: " Sans songer même à nous dire leurs noms." Aucune colonne n'a inscrit les noms de ces martyrs. Heureux encore quand on ne leur a pas refusé une tombe! Les _révolutions do~vent _prouver, sous· peine de n'être pas rles i-évolnhons, que la Repubhque cloune aux masses non seulemeJ1t une somme plus rrranl:l.ede droits, de libertés, mais aussi une somme tellem~nt gra~1de de bien-être _matériel, qne les gouvernements ansto~ratlqne ou monarcluque ne sauraient en approcher. Pour qu'une forme gouvernementale dm-e dans un pays particulier, à plus forte raison clans le monde entier, il est inclispensable que chaque citoyen ait la certitude que quoiqu'il arrive ]'i~stru.ction et le pain ne manqueront jamais à ses enfants, que l'aide iratemel ne manquera janiais à sa femme, la sollicitude publique à son vieux père, le travail à lui-m~me. Le jour où l'expérime.ntation de la forme démocratique aura amené ce résultat sur un des point de l'Europe, ce jour-lit, l'Eu1·opeentière sera r~publicaine. C'est pourquoi, citoyens, en vous proposant d'ac,,clamer l'Eman- ~ipation <l~ travail. et du travailleur, je n'ai fai_t que traduire la formule et Je vous a1r~ellement proposé ce toast: A la République unirerielle, démocratique et sociale! D'autrei ·discours ont ~té prononcés en langw.eanglaise par le citoyen J ancewitz, proscrit polonais et par un ministre protestant : nous n'en avons point le texte. • Celui qui écrit ces lignes a dit aussi quelques µaroles que ses compagnons d'exil ont bien accueillies : il a rappelé l~s h_éroïqu.escombats de_la grande nation~ ena~te aujourd hm, par tous les chemms du monde, mais tou,1oursbrave et debout, en ses misères, comme nne tour vivante et sac~ée; il a dit que ces peuples là ne mournient jamais qni savaient ainsi garder, à travers les ·temps, l'h~nue-ur et la foi : quel plus grand témoignage, en effet, que cette implacable vertu qu'on trouve partout, et dans les mines sibé_riennes,et dans les forêts de l'Amérique, et dans l'atelier, et dans l'échoppe, comme aux champs de bataille où .. la liberté sonne du clairon, sur toiis les continens. ! / La Pologne, s'est-il écrié en finissant, la Polov·ne, notre aînée dans l_a ~roscription et _le ~alheur, ren~:-era plus grande que 3ad1s, dans ces plames JOncbèes de. victoins : Comme l'Italie, comme la Hongrie, comme l'AUemal~ne, comme la France, elle se sentira l'Humanité : c'est· là L'HOMME. 'l'espérance de nos combats, la grande aspiration de l'exil, et le dessein dernier de nos réuuions co~me de nos propagancles ! CH, Rrn. BIOGRAPHIEBSONAPARTISTES. M..DE MORNY. SOMMAIRE: M. de Morny fils adultérin d'Hortense Beauharnais et de l'aide-de-camp de Flahaut. - La règle : Pater is est quem n11ptiœ dernonstrant. - M. de Flahaut se souvient de son fils au bout de quinze ans. - De Morny sous-lieutenant en Afrique. - Il abandonne la carrière militaire et devient fabricant de sucre de betterave. - Les électeurs censitaires de ClermontF~rrand l'envoient à la Chambre des Députés en 184.2. - Il se pose comme Guizotin. - La phalange bancocratique. - M. de Morny est renommé député aux élections de 1846. - Don Quichotte et Sancho Pança. - Achat secret de la gérance du Constit·1tûonnel. - Le double jeu. - La_niche à Fidèle.- le vote des Satisj'aits. - De Morny jotfrnaliste. _:_ Il répond dans la Revue des Deux-Mondes à ses articles <lu Constitutionel. - Il se fait Réformiste et s·igne le p1:ogramme du banquet de Février. 1809- f848. M. A DE MORNY est le fils adultérin d'Hortense Béaulian1ais et du comte de Flahaut, cet ancien aide-decamp de Napoléon qui fut arrêté comme espion par ordre de_ Metternicl1 en 1815, et qui devint aiubassadem de Louis-Philippe à la iour de" Vienne sous la monarchie de Juillet. L'ex-roi Je Hollande, à qui son frère avait imposé la paternité du fils de l'amiral Verhuel, fut inexorable pour Morny, et ne voulut entendre parler pour celui-là ni ile la règle : Pater is est, ni du Code civil, qu'à la condition de passer immédiatement au chapitre du divorce. Pour éviter tout scandale, un vieillard, dévoué aux Beauharnais, le éomte de Morny, accepta le rôle de père nourrici_er, et se chargea d'élever le fils répudié par un mari justement irrité (l ). Pendaut la Restauration, 3e jeune Morny füt élevé dans une obscurité prudente. Il appartenait à une race momentanément proscrite, en attendant qu'elle doùnitt à son tour l'exemple de proscriptions inouïes dans .l'histqire depuis Sylla. Le général .de ·Flahaut, rallié aux Bourbons de la branche aînée, semblait avoir oublié l'existence de ce fils, lorsque la Révolution de Juillet vint rendi-"êau ·Bouapi_trtisme des espérancei et des chances inattendues. Dès lors, l'ancien favori de la reine Hortense, •bien accweilli dans la cour bourgeoise issue des ban-icad&s de Juillet, .rapprocha de lui ce fils abandonné depuis quinze ans. Il l'introduisit dans les salons du faubourg Saint-Honoré, dans les clubs de la Chaussée-cl' A1i1.tin, et parmi les viveurs du ·boulevard de Gand. Le jeune Morny, taciturne, replié sur lui-même, ne se livrant que par bontaÙQQexcentriques, eut bientôt ïJris en dégoOt la v·ie de salon et fit quelques folieii, à la suite desquelles M. ile Flahaut jugea prudent de le lancer dans la .carrière militaire, qu'il avait parcourue lui-même uori.sans succès. Il fit donc entrer son fils adultérin à l'Ecole d'étatmajor, et lui fit donner, en 1832, une sous-lie~tenance dans un des régimens d'Afrique. Morny fit la campagne de Mascara et de Constantine. Il fut blessé sous 1es murs de. cette dernière ville, et reçut, à cette occasion, la croix de la Légion-d'Honneur. De retour à Paris, en 1838, il denna sa démission pour se lancer dans tes spéculations commerciales et industrielles, qui lui offraient des chanc~s clefortune plus rapides que la guerre africaine. Il fonda bientôt en Auvergne une fabrique de sucre de betterave, at fut nommé secrétaire de-la commission des délégués ~u sucre indigène. Cette fonction le mit en relief dans son département et lui permit, grâce -àl'appui du ministère Guizot, de se porter candidat aux. éleétions du 10 juillet 1842. A la tribune de Ja·chambre des députés, où il fut envoyé par ses électeurs de Clermont-Ferrand, il se fit remarquer_ par un aplamb s11perbe, et se rarigea parmi les conserva.'. teurs-bornes qui furent les dociles fostrumens de la _politique personnelle de Louis-Philippe. Il devint bientôt un des membres les plus actifs de cette phalange rapace, industrielle, et bancocratique, qui, depuis 35 ans, a maintenu la France dans un <1ystêmeéconomique absurde ·en principe, et hostile en fait à tout progrès. Cependant, à mesure que le nouveau· député .recevait de nouvelles faveurs, en échange ùe ses votes ministériels, ses exigences et ses pr.étentions augine'lltaient dans u1Jeproportion au~si alarmante pour ie budget que. compromettante (1) Mémoire publié par M. Véron à ·l'occasion du- proch Aguado. Siècle clu 14 avril 1853. pour le ministè~e. Bientvt, appuyé de quelques amis, compagnons fülèles de ·ses parties fines, ou intéressés dans ses spéculations commerciales, le député de Clermont deviRt la terreur_de M. Guizot, qu'il accablait en public de ,ses protestations de·dévoueineut, et,· en secret, de ses demandes de couessions, d'emplois, de décorations et· de ,bureaux de tabac. Le ministre accueillait-il de mauvaise _grâce ces sollicitations importunes et sans cesse renaissantes, M. de Morny faisait immédiatement le simulacre de passer à l'e,nneuii, et de se jeter dans les bras de l'oppo- .sition, ni plus ni moimi que M. Thiers ou M. Oùilo11 Barrot, • Lors des éleetio11sgénérales de 1846, M. de Morny fut renvoyé à _laCharnbi·e par le premier collége électoral d1t. _Puy-de-Dôme. Son élection fut validée dans la séance du 19 aoüt l 846, et le lendemain il prit la parole pour s'opposer à l'admission du pr~sident Matter, qui avait promis à ses électeurs de donner sa démission à la fin de l'année. L'orateur ministériel saisit c-ette occasion pour protester oolltre le mandat impératif, qui, à son avis, " porte atteinte à la dignité et à la considération du député. " Il serait bôn de savoir où M. de Morny va chercher aujourd'hui la dignité et la considération des eunuques politiques qui remplissent les fonctions. dérisoires de sénateurs ou de meœ bres dn corps législatif? •Le député de Clermont se :préoccupait d'ailleurs fort .peu de ses devoirs de législateur en. dehorl! des mesures qui n'intéressaient directement, ni sa position industrielle, ni la coterie politique à laquelle jl apparte1rnit. On le rencontrait plus fréquemment dans les couloirs de l'Opéra que dans les couloirs. du Palais Bourbon i .daus les., cabà1ets .particuliers du ·Café de Paris qu'aux dii2ers ministériels de ·M. DuchâteL Mais c'était aux ceur:ies àu Champ-de~ Mars, aux cliàsses princières de Chantilly, dans liB allées du bois de Boulogne, partout où se ra~semblaient les beaux-fils du turf, du lansquenet et du bâcca:rat, que l'on était le plus certain de voir apparaître cette grande figure "osseuse, maigre, irofüque, au sérieux impassible, rappelant à s'y méprendre le Don Quichotte de Michel Cervante_s. Pour peu que le doctellr Véron, nùeu~ c0nnu dans certains lieux sous le nom de Capitaine, vint se glisse1· derrière lui, on avait sous les yeux le portrait frappant du héros de la Manche, accompagné de son fidèle Sancho I?ança. Ce fut vers la fin de ] i46 que le dépu.té de Morny, mécont~nt de voir opposer des fius de-non recevoir à ses exigences de soll~citeur ministériel, acheta;, moyennaJ.1.t ] 00,000 fr., la moitié de la géra~ce du Constituti<l_nnel, dont M. Thiers voulait se dCtfàire. Donc 1C. de Morny, µéputé conservateur, appuyaüt pùbliqüemeat le ministère de ses votes à la Chambre, et le dép-iolissant ell secret dans les co!oJu:1.êds'un jour1,1alc.l'opposition, lui forçait la main d'un côté par des démanatrations ostensibles qui demandaie11tnaturellemo.t le~T récompense, de l'autre,. par des manœuvres occlllltes, une guerre sourde et perfide, qui mettaient ui1prix à la paix. Cette ho1rnête industrie, doublement et sürement productive, était digne de l'homme qui, vivant aux· dépens d'un mari trompf, avait accepté dans un aoin du jardiu dé sa maîtresse une petite maison que l~Jl. yivem:s, ses amis, avaieut. baptis,e la niche à Fidèle. '·.,,_·•,•• ·- • M. de Morny -paraissait rarement à la Chambre : c'est à lui cepe~dat1t_4.u'est dû ce fameux, ordre du jour motivé du 25 juin 184°7, par lequi:l une majorité .de 225 déput/>s ministériels appelés à se prononcer sm- des faits de corruption articulés contre le ministère Duchâtel par M. EmUe de Gi~arclin, déclara " que la Chamb1·e,SATISFAI'.D.E "des explications des ministres passait à l'ordre du jour." Appelé à la tribune pour soutenir son ol'dte du jour, M. de.Morny dit : " Il faut: sortir de la position où 11ousnous "trouvons : si ies gouyerne1ne1ls peuvent résister aux " haines et aQx passions, ils ne résistent pas à la honte " et au mépris. J'ai, doRc appelé de tous mes vœux un • "éclairci~sement complet; _mais M:. de Girardin n'a ri,m "dit, n'a produit aucune. preuve, tandis que M. Fould a "produit llne-dénégatton formelle." Parmi les satisfa.its au milieu desquels on ue comptait pas moins de 132 fonctionnaires publics, on remarquait, •, sans compter l'auteur de la propôsition, MM. A. Fôuld et Magne, futurs ministres-du Bas-Empire, tandis que MM. Berryer, Boulay de la Meurthe et Chapuy_s-lfontlaville, aujourd'hui fougueux bonapartistes, voaient avec l'oppo- •sition. On sait quelles furent les conséquences de ce vote célèbre ; il devin_tu_ne arme terrible entre les mains de tous les partis qui corp.battaient"la monarchie de juillet; or, maintenant que les indiscrétions du père aux,écus ont révélé toute la perûdie du rôle de M. de Morny vis-à-vis duministère Guizot, il est fort probable que cette pr.op?sition platement servile avàit pou!; ~11tde jeter sur les hommes politiques ùont le, député de Clermont affectait de se dire l'ami, la honte et le mépris qui tuent les gouverneroens plus sûrement _quela baiqe et les passions . Pu. BERJEAU .. (1) (L-a·suite au prochain Numéro.) (l) EXtl'ait des Biographies Bonapai-listes, par Ph. Herjeau, exrédacteur-gérant de la }'raie République. A 1lIS. Il sera publié avec chaque numéro un ~u1Jplémeut spécial pour les ANNONCES dans l'intérêt du Commer.ce, de .l'Indttstrie et de la Science, ·Les A1monces de tous les pays seront acceptées à la comdition d'être écrites en français, conformément au spécimen ci-après .. Les Avis et Annonces sont reçus jusqu'au venclredi à midi, à Lo11dres, à la librairie et agence de l'Imprimeri\e Uiriverselle, 50 122, Great Queen Street Lincoln's-Inn-Fields, et à l'office de l'Imprimerie Universelle, 19, Dorset Street, à ~ersey, S-Hélier, jH_squ'àl'arrivée du counierdu mardi. Toute correspondance doit être affranchie et contenfr un bon, soit sur la poste anglaise, au nom de M. Zéno Swrni-osLAWSKI, soit sur _undes banqu!ers de J ersay ou <leLondres. Le prix des Annoncea est uniformément de douze sous (six pence) la ligne, pour les trois sortes de ~aractères courants employés dans ce Journal. Lei lignes en capitales et en lettres de fomtaiisie, seront payées en proportion de la hauteur qu'elles occuperont, calculée sur le plus petit texte. , ' .\
RkJQdWJsaXNoZXIy MTExMDY2NQ==