NOTEESTNOTULES Un journal se plaint ùe., notes posthumes de .Jules Laforgue où, dit-il« il n'y a pas assez à glaner>>; empres sons-nous - après avoir courtoisement dêconseillé au plaignant la lecture des Entretiens - de redire que notre seule intention, en publiant ces notes, est de permettre à ceux qui s'intéressent à l'œune interrompue de Laforgue d'en supputer les promesses. Est-il oiseux d"ajouter que ces feuillets, pieusement reconstitués, ne le furent que pour les seules personnes intelligentes? et que le souci de donner « à glaner » it un journaliste ne nous a jamais inspiré? On ,wits conunimique l'appel suiutnt : « Un comité composé d'amis d'EPHRA.IM i.\IIKHA.EL, mort le 5 mai 1890, se propose d'élever à sa mémoire un monument de pieuse admiration. Il fait ap?>el à tous ceux qui aimèrent l'homme et le poète, à ceux qui estiment qu'il a réuni en lui plusieurs des plus nobles dons particuliers à la jeune génération. « Il sied q_u'une image de marbre, sur sa tombe, rappelle ce que fut le pur poète qui repose là. L'exécution du monument a été confiée à M. 1',lichel Malherbe. Les souscriptions sont recueillies par M. Gaston Danville, trésorier, Hll, faubour~ Saint-Honoré, et, par chacun des membres du comite : MM. Jean Ajalbert, Camille Bloch, ::.VIarcelCollière, Gaston Danville, Rodolphe Darzens, Ferdinand Hérold, Henry Lapauze, Bernard Lazare, Grégoire Le Hoy ,Charles Van Lerberghe, Maurice i.\IaeterBibliotecaGinoBianco
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