- 310 - <lans la bouche du J,:•ros d'un drame imaginaire qui lht haut du tragique collrnrne ;'t d'ignares dévastateurs disait: « Si lu coupes l'antique et Yénérahle forêt, crains-moi, car je porte en mon àme le sou,·enir de cc qu'elle fut. Prends garde, le fail stupide d";.tvoitc• ru couper du bois et d'aYoir supprimé de la solitude et du silence te désigne ,l la haine de ma Yindicative tristes e. Qui sait si, quelque jour, en errant parmi ces débris, je ne relrouYerai pas au cœur du dernier chêne qu'elle entama sans avoir pu l'abattre !"ancienne hache qu'y laissa quelqu'un d'absent ou d'enfui devant son propre sacrilège cf", si, mystérieux continuateur de lïnitial éclair d'acier que tu as p1·opagéd'arbre en arbre, je ne retournerai pas contre ta néfaste turpitude le vieux franchant qui s'est consen·é pur, en l'entaille où il demeurait, pour en jailli,·, enfin, et luire au poing furieux de quelque héros inconnu d'une cause de Songe et d'Ombrc. >> JIE:,.;m DE Hi~GNIEn. BibliotecaGinoBianco
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